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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Partenariat Europe ＆ international | Institutionnel
Europe
Implication de l’institut des sciences du vivant Frédéric Joliot dans les programmes européens.
Retrouvez ci-dessous les lauréats de la prestigieuse instance européenne à l'institut Frédéric Joliot.
Dans BABYLEARN, Ghislaine Dehaene-Lambertz cherche à expliquer les spécificités de l'architecture neuronale fonctionnelle critiques dans l'apprentissage chez l'homme dès la mise en place des circuits corticaux.
Dans le projet NEUROSYNTAX, Stanislas Dehaene vise à expliquer les mécanismes cérébraux responsables des capacités humaines pour le langage et l'abstraction, et à faire la lumière sur leur ontogénie et leur phylogénie en utilisant des mesures comportementales, l'IRM fonctionnelle, la magneto-encépalographie (MEG), l'électro-cortigraphie (ECOG) et les techniques de « machine learning »
Dans le cadre du projet NEUROCONSC, Stanislas Dehaene a pour but de trouver les limites du traitement de l'information subliminale et de clarifier la fonction et l'architecture cérébrale sous-jacents au traitement conscient chez l'adulte, le nourrisson, des patients et des primates non-humains.
Avec les projets PHOTPROT et SUPER-RESOL, Bruno Robert prépare la commercialisation d'une nouvelle méthode simple et économique pour extraire des images de très haute résolution à partir d'images obtenues par des microscopes confocaux à fluorescence classiques. Cette méthode peut ainsi être utilisée avec n'importe quel type de fluorophore, simplement en équipant ces microscopes avec une table de positionnement X-Y « high end » et un détecteur 2D.
Nicolas Boulant vise à appliquer, avec les projets EXPAT et UNIPAT, des techniques sophistiquées de conception d'impulsions radiofréquence pour manipuler les spins nucléaires efficacement avec la transmission parallèle sur deux IRM de Neurospin au CEA : l'IRM à 7T correspondant à l'état de l'art et l'unique IRM à 11.7 T qui sera bientôt installé.Dans le projet "preuve de concept", il propose d'établir la validité scientifique, la faisabilité technique et le potentiel sur le marché de solutions radiofréquence dites "impulsions universelles". Les expérimentations sont réalisées à 7T afin de faciliter l'exploitation de la technologie de la transmission parallèle et de fournir aux industriels un produit presse-bouton, clé en main.
Pour expliquer les principes et les opérations mentales sous-jacentes à la perception du temps, MINDTIME de Virginie van Wassenhove se concentre sur un nouveau cadre théorique pour comprendre comment l'esprit humain peut se permettre l'expérience temporale de "maintenant".
Le projet TERNANOMED, impliquant Bernard Rousseau, visait à développer des nano assemblages à base de terpénoïdes pour améliorer le traitement de maladies sévères telles que cancer, maladies infectieuses. L'approche conceptuelle était de lier chimiquement un terpène (synthétique ou naturel) à une molécule de médicament biologiquement active de façon à permettre au bioconjugué ainsi formé en résultant de s'autoassembler dans l'eau sous forme de nanoparticules.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.