La conception des combustibles des réacteurs de recherche n’a
pratiquement pas évolué depuis leur mise en service, au début des années
1960. En effet, la très forte densité de puissance qui caractérise ces
réacteurs impose l’utilisation d’un combustible très divisé, sous forme
de plaques minces d’environ 1mm d’épaisseur, majoritairement constitué
d’aluminium.