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Institut de Biosciences et Biotechnologies d'Aix-Marseille
Les recherches pluridisciplinaires de l'IBEB s’appuient sur deux plateformes: HélioBiotec pour la biotechnologie des microalgues et Phytotec, labélisée IBISA, pour les expérimentations végétales en conditions contrôlées. Le service de Cadarache bénéficie également d'un plateau technique en imagerie, ZOOM.
Actualités
Une équipe du BIAM dans le cadre d’une collaboration internationale*, est parvenue à développer un agent de contraste médical améliorant la précision de l’imagerie médicale. Certaines de ses propriétés pourraient également permettre le traitement de tumeurs par hyperthermie tout en apportant un traitement sur les zones ciblées.
Inspirés par les systèmes de propulsion des bactéries, des chercheurs issus de plusieurs instituts internationaux* sont parvenus, en collaboration, à reproduire par impression 3D des micro-nageurs qui pourraient être guidés à l’aide de champs magnétiques dans l’organisme humain à des fins thérapeutiques.
Pour contrer le verrou biologique qui force les microalgues à bloquer leur croissance lorsqu’elles stockent de grandes quantités de molécules énergétiques, le BIAM vient d’obtenir un financement ANR TOR-DYRKcontrol, pour que croissance et stockage deviennent compatibles.
Comprendre le mécanisme photosynthétique d’acclimatation à la lumière et développer de nouveaux outils utiles à la lutte contre le réchauffement climatique
Renforcer les équipes en biologie évolutive pour favoriser la transversalité entre les thématiques de recherche de l'Institut à travers la bioinformatique et les sciences « omiques » est le défi majeur porté par le projet de Caroline Monteil qui a retenu l’attention du jury au cours du processus de recrutement, mené en 2020 au travers de l’appel à mobilité international du BIAM.
Des chercheurs viennent de découvrir le rôle essentiel d’une nouvelle protéine géante (DTH1) impliquée dans la dégradation des « gouttelettes lipidiques », site principal de stockage de carbone et d’énergie chez certaines microalgues. Cette découverte change significativement notre compréhension de leur système de production et de stockage de molécules riches en énergie. Elle ouvre de nouvelles perspectives dans le développement de filières de biocarburants de 3eme génération1.
Dans le cadre de ses recherches sur les bactéries magnétotactiques1, une équipe de scientifiques de l’Institut de Biosciences et biotechnologies d’Aix-Marseille (BIAM) vient de découvrir une bactérie ayant la particularité de réaliser deux types de biominéralisation à l’intérieur même de sa cellule. Cette découverte est une avancée significative vers le développement de méthodes de bioremédiation des radioéléments.
Damien Sorigué est le lauréat de l’appel à projet « soutien aux jeunes chercheurs », lancé par l’Institut de Microbiologie, Bioénergies et Biotechnologies (IM2B) qui finance ainsi une part de ses travaux sur la caractérisation de trois enzymes impliquées dans la synthèse d’huile chez les microalgues.
À l'horizon 2030, le Projet H2020 CAPITALISE (Combining Approaches for Photosynthetic Improvement To ALlow Increased Sustainability in European agriculture) permettra le développement d’un plan d'action durable en matière d'environnement. L’objectif sera d'améliorer de 10% l'efficacité de la photosynthèse. Ce projet dit de « cultures intelligentes pour le climat » vient d’obtenir un accord de financement européen de 8,6 millions d'euros.
Une équipe scientifique de l’Institut biosciences et biotechnologie d'Aix-Marseille (BIAM, CEA/CNRS/Aix-Marseille université), à Saint-Paul lez Durance, en collaboration avec des chercheurs de l’Institut Max Planck de Potsdam et de l’Université de Göttingen ont déterminé la trajectoire et la vitesse de nage de la bactérie magnétotactique Magnetococcus marinus, connue pour se déplacer rapidement. Publiées dans la revue eLife le 28 janvier 2020, les propriétés exceptionnelles de cette bactérie permettent d’imaginer son utilisation comme micro-robot dans les domaines de la biotechnologie et de l’environnement.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.