Nos recherches.

Notre  expertise  au  service  de  sept  axes  de  recherche  principaux.









Nos axes de recherche.

LISM : Capteur de mesure du coefficient d’échange de chaleur : FinCoef h. Conception couches minces en céramique cofrittée et micro pistes en platine procédé HTCC 1600°C. © A.Aubert /CEA


Afin d’atteindre nos objectifs et de remplir notre mission, nos équipes travaillent sur différents axes de recherche dans une approche transversal. Ainsi nous étudions rigoureusement, différents procédés, technologies, modèles intervenant dans la maîtrise des divers champs qui composent le domaine du nucléaire.

​Les réacteurs actuels de 2e et 3e génération de type REP.

​Salle de contrôle-commande du réacteur CABRI : réglage des caméras du hall réacteur © A.Aubert /CEA

L’objectif est de soutenir le parc de réacteurs EDF, avec des enjeux en termes de durée d'exploitation, de performance, de disponibilité et de sûreté. Ce parc est composé de Réacteur à Eau Préssurisée (REP).

​Les réacteurs du futur de 4e génération.

​Plateforme TOTEM : Qualification de dispositifs [Essais dans le hall TOTEM du banc d’examens non destructifs en cellule chaude (HGXR) pour le Réacteur Jules Horowitz] Après sa qualification dans le hall TOTEM par le Laboratoire de Mesures Nucléaires, puis son implantation dans les cellules chaudes du réacteur, cet équipement permettra d’effectuer des mesures de gammamétrie et des examens en imagerie X haute résolution en support aux programmes expérimentaux du RJH. © A.Aubert /CEA

Les recherches sur les réacteurs dits de 4e génération ont pour but de proposer des solutions en termes de fermeture du cycle du combustible et d’utilisation de la ressource en uranium.

​​Les petits réacteurs modulaires de demain.

Le Small Modular Reactor NUWARD. © EDF

Les Small Modular Reactor présentent une puissance moindre que les REP. Il s’agit donc de répondre à un besoin spécifique (comme le remplacement de centrale à charbon) et surtout d’innover en matière de sûreté et de conception.








​Le soutien à la Défense.


​Illustration de thème

​Les équipes de l’IRESNE assurent les recherches sur les combustibles, composants et cœurs des chaufferies embarquées dans les bâtiments de la Marine Nationale (réacteurs de propulsion navale).

​Le cycle nucléaire : vers un recyclage complet des matières valorisables.

Dépose d’un échantillon sur un passeur d’échantillons en vue d’un comptage en scintillation liquide. La scintillation liquide est un dispositif de mesure important dans un laboratoire de radiochimie. Il permet de réaliser un comptage correspondant au nombre d’émissions béta émises par  un radionucléide émetteur béta. Cet émetteur aura été auparavant isolé sélectivement des autres émetteurs béta, mais aussi gamma et alpha, par des méthodes séparatives spécifiques de l’élément. ©  A.Aubert /CEA

​Les chercheurs se penchent sur la fabrication, le traitement puis le recyclage du combustible dans l’objectif de « fermer le cycle » nucléaire et de réutiliser toutes les matières pouvant fournir de l’énergie.

La R&D pour l’Assainissement et le Démantèlement (A&D).

LECA-STAR : Travail en téléopération en Zone Avant de la cellule blindée n°5 de l’installation STAR © A.Aubert /CEA

​L’IRESNE travaille également en collaboration avec d’autres unités du CEA sur la question du démantèlement des installations nucléaires en fin de vie et le traitement des déchets nucléaires.


​Le réacteur de recherche Jules Horowitz : RJH.

Modélisation du RJH © CEA

​Un outil indispensable pour accompagner les études sur les combustibles et matériaux des réacteurs de puissance et des réacteurs de recherche. L’IRESNE sera l’exploitant du futur réacteur de recherche Jules Horowitz actuellement en construction sur le centre CEA de Cadarache.