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Principales unités travaillant dans le domaine d'une stratégie énergétique durable

Publié le 9 avril 2015

Grenoble | Chambéry

Laboratoire d’Innovation pour les Technologies des Energies Nouvelles (Liten)

Institut du CEA implanté principalement à Grenoble et Chambéry (INES), le CEA Liten (Laboratoire d’Innovation pour les Technologies des Energies Nouvelles), est l’un des plus importants centres européens de recherche sur les nouvelles technologies de l’énergie. Il a pour mission de soutenir l’effort français de diversification énergétique par une meilleure intégration des énergies renouvelables pour les besoins en énergie du transport, de l’habitat et de l’électronique nomade. Les activités du Liten sont centrées sur l’énergie solaire et le bâtiment basse consommation, les transports (hydrogène et pile à combustible, stockage de l’énergie), la biomasse, ainsi que les nanomatériaux à l’origine de nombreuses ruptures technologiques.


Saclay

Institut de technico-économie des systèmes énergétiques (I-tésé)

L’Institut de technico-économie des systèmes énergétiques, I-tésé, est chargé d’une mission transverse pour évaluer les systèmes énergétiques depuis les sources primaires jusqu’au besoin final. Cette action est menée essentiellement selon une approche technico-économique et vise tant à guider le gouvernement dans ses choix de politique économique qu’à pratiquer des arbitrages au sein du CEA. Dans ce cadre, l’Institut allie des profils et métiers très variés, de la physique nucléaire, des technologies de l’hydrogène ou des derniers développements sur le stockage à l’économie industrielle, publique ou du risque. 


Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement (LSCE)

Le LSCE est une unité mixte de recherche CEA, CNRS et Université Versailles St-Quentin. Il étudie la variabilité des climats récents ou plus anciens, analyse le fonctionnement de la « machine » climatique et modélise les mécanismes d’interactions entre ses différents rouages, atmosphère, océans, végétation, etc. Il s’attache à comprendre l’impact climatique des activités humaines pour les prendre en compte dans des simulations de plus en plus précises.