Les électrolytes liquides sont encore très largement utilisés dans les batteries au lithium, mais posent de multiples problèmes de sécurité, tel qu’un court-circuit interne pouvant entrainer feu ou explosion…
L'alternative est le développement d'électrolytes solides performants et plus sûrs. Dans cette perspective, un concept novateur a été développé au Laboratoire Léon Brillouin de Saclay (CEA-Iramis), celui du confinement unidimensionnel (1D) du milieu électrolytique pour améliorer la conductivité ionique des électrolytes.
Afin de poursuivre cette approche, une collaboration a été mise en place avec le CEA-LITEN dans un premier temps, rejoint par la suite par le laboratoire SyMMES (CEA-IRIG, CNRS, UGA, Grenoble INP) et l'Institut de Chimie Radicalaire (AMU). Ce consortium a ainsi permis de comprendre les phénomènes mis en jeu grâce à une étude multi-technique.
Collaborations et contacts :
Jean-Marc Zanotti, UMR LLB/MMB CEA-CNRS et Didier Lairez (LSI)
Quentin Berrod, UMR Irig/SyMMES/STEP CEA-CNRS
Raphaël Ramos, CEA-Liten
Trang N. T. Phan et Didier Gigmes, Chimie radicalaire organique et polymères de spécialité – CROPS, Institut de Chimie Radicalaire – UMR 7273, Marseille.
Benoît Coasne, LIPhy UMR CNRS-Université Grenoble Alpes.