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Des énergies pour l’avenir
Présentation générale du Centre CEA Marcoule
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Surtitre, qui peut être long, aussi long que contribué, et s'étaler sur plusieurs lignes
En 2020, la concentration de méthane dans l’atmosphère a augmenté de 15,1 parties par milliard (ppb). Il s’agit de la hausse la plus importante depuis le début des mesures atmosphériques. Cette augmentation spectaculaire est expliquée dans la nouvelle étude publiée dans Nature, à laquelle a participé une équipe de scientifiques du CEA, de l’UVSQ et du CNRS travaillant au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE).
Des chercheurs ont évalué la capacité de modèles numériques à prévoir l’évolution d’un paramètre biologique à la base de la chaîne trophique marine.
Prévoir un ou plusieurs mois à l’avance d’importantes vagues de chaleur estivales similaires à celles qui ont touché l’Europe durant les étés 2003 et 2010 demeure un défi pour les météorologues.
Grâce à des mesures de longs termes menés sur 1 245 forêts européennes, une collaboration scientifique internationale démontre que l’émergence des premières feuilles au printemps est moins sensible au réchauffement climatique depuis une quinzaine d’années.
Une équipe internationale impliquant le CNRS, Météo-France, le CEA, l’UVSQ et l’INERIS, a réalisé puis analysé un ensemble de projections climatiques sur toute l’Europe d’une résolution sans précédent (12 km), en affinant les simulations globales réalisées pour le 5e rapport du GIEC.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.