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La coopération scientifique et technique

Publié le 6 juillet 2016

La constitution d’un réseau solide de relations bilatérales permet au CEA, s’appuyant sur une recherche d’excellence, une expertise reconnue dans les énergies nucléaire et renouvelables, et un important parc d’infrastructures, de développer des collaborations internationales de haut niveau, d’attirer des chercheurs reconnus dans leurs domaines, de se positionner au sein d’initiatives et d’instances européennes ou internationales pour construire des stratégies communes ou investir dans des infrastructures de recherche d’ampleur supranationale, telles que le CERN ou ITER.

Ce déploiement passe par la constitution d’un réseau solide de relations bilatérales.

Au-delà de ces collaborations entre équipes scientifiques, le CEA noue des partenariats institutionnels avec des organismes de recherche, des académies des sciences, et des ministères chargés de la recherche, de l’innovation, de l’énergie ou de l’industrie dans de nombreux pays dans le monde.

Enfin, le CEA encourage l’ouverture de ses grandes infrastructures de recherche. Ainsi par exemple dans le domaine de la santé et des sciences du vivant, la plateforme NeuroSpin de recherche en imagerie cérébrale, à Saclay, est largement ouverte sur l’international. NeuroSpin est d’ailleurs un partenaire clé de l’ambitieux projet franco-allemand Iseult, dont l’objectif est de développer l’apport de l’imagerie en champ intense pour les sciences du vivant. Dans le domaine nucléaire, le réacteur Jules Horowitz (RJH) que le CEA construit à Cadarache est au centre d’un consortium international de partenaires qui contribuent à sa réalisation, participeront à sa gouvernance, et bénéficieront de droits d’accès garantis à ses capacités expérimentales.