Moteur de la recherche et de l’innovation
Pandémie mondiale, crise de l’énergie, événements climatiques extrêmes, dépendance vis-à-vis de l’Asie dans le numérique… En 2022 tout particulièrement, les questions de souveraineté sont au premier plan des préoccupations, avec trois domaines essentiels : la transition écologique, la microélectronique et la médecine du futur. La France comme l’Europe y ont consacré d’importants moyens, à travers des plans de soutien comme le Chips Act européen ou le plan France 2030.
Objectif : encourager l’innovation made in France, ou made in Europe, et réindustrialiser les territoires. Les enjeux de défense nationale et de dissuasion prennent également une place particulière dans le contexte de la guerre en Ukraine.
En œuvrant pour un leadership scientifique, technologique et industriel de la France et de l’Europe, comme le stipule sa lettre de mission, le CEA contribue à ces enjeux à plusieurs titres et à plusieurs échelons, qu’il s’agisse de recherche fondamentale, des plateformes technologiques permettant le passage à l’échelle, ou encore via ses startups. Certaines d’entre elles sont devenues des multinationales, à l’image de STMicroelectronics ou Soitec, et d’autres sont en passe de devenir des acteurs majeurs comme Siquance, Inocel, Diabeloop ou Genvia.