Les nanoparticules métalliques (or, platine, hafnium et gadolinium) sont de plus en plus étudiées comme agents de radiosensibilisation, capables d'amplifier localement l'effet de la radiothérapie. Cependant, les mécanismes cellulaires régissant leur internalisation demeurent mal compris.
Dans cette étude, les chercheurs de l'Unité Stabilité Génétique Cellules Souches et Radiations de l'IRCM ont comparé l'absorption de nanoparticules (or et TiO₂) dans plusieurs lignées de cancer du sein de phénotypes différents. Les résultats montrent que :

@CEA/IRCM, Emmanuelle Bourneuf
Ces résultats mettent en lumière un mécanisme cellulaire clé qui pourrait être exploité pour cibler spécifiquement les cellules tumorales les plus agressives et résistantes aux traitements, ouvrant la voie à des approches de radiothérapie plus sélectives et efficaces.
Contact : emmanuelle.bourneuf@cea.fr