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L'Institut de recherche interdisciplinaire de Grenoble (Irig) est un institut thématique de la Direction de la Recherche Fondamentale du CEA.
Notre Institut est composé de 5 départements
Les 10 Unités Mixtes de Recherches de l'Irig
Publications, Thèses soutenues, Prix et distinctions
La permaculture fait appel aux bactéries fixatrices d’azote, qui permettent d’apporter de l’azote assimilable par les plantes de manière naturelle. Des chercheurs du CEA-Irig (IBS) ont déterminé la structure cristalline d’une protéine essentielle au processus de fixation de l’azote.
L'Inde et le Bangladesh font face presque chaque année à des épidémies impliquant le virus Nipah. Des chercheurs du CEA-Irig (IBS) ont caractérisé la structure d'une de ses protéines principales.
La déesse Athena va bientôt changer de terrain de jeu : dans une dizaine d’années, elle s’envolera pour l’espace !
En recourant à une méthode RMN, les chercheurs du CEA-Irig ont révélé les mécanismes moléculaires qui permettent au virus de la grippe aviaire de s'adapter de l'oiseau à l'Homme. En mettant au jour ces interactions entre la polymérase virale mutée et un facteur de transcription clé dans les cellules hôtes, ce nouveau regard permettra d'étudier le mécanisme de contagion inter-espèce de ces virus et donc d’ouvrir de nouvelles voies thérapeutiques potentielles.
Des chercheurs du CEA-Irig (IBS) ont caractérisé la forme 3D d'un long ARN non codant grâce à la microscopie à force atomique et la diffusion X à petits angles.
Des chercheurs du CEA-Irig ont construit miRViz, un site Web en accès libre permettant d’utiliser la puissance des réseaux pour rendre visuelle une analyse des données de microARN, ces petits ARN qui ne codent pour aucune protéine mais qui sont des régulateurs majeurs de l’expression des gènes.
Une équipe du CEA-Irig a passé au crible le dispositif optique de « lecture » du nez opto-électronique qu’elle a développé et qui est aujourd’hui commercialisé par la start-up Aryballe Technologies. Ce nez peut désormais être utilisé sur le terrain au maximum de ses performances.
Une équipe du CEA-Irig, en collaboration avec l’Université Pablo de Olavide (Séville, Espagne) et l’entreprise suisse Solaronix, a inventé une nouvelle famille de colorants photochromes adaptés au photovoltaïque. Les premières cellules utilisant ces colorants sont très prometteuses. Un résultat qui ouvre la voie à des vitrages photovoltaïques dont la transparence s’adapte à la luminosité.
Le CEA-Irig présente dans Nature Catalysis une revue sur les protéines SAM, des catalyseurs qui produisent des espèces radicalaires très réactives.
Des chercheurs du CEA-Irig ont fait un pas de plus vers la préparation d'une photo-électrode durable pour la production d'hydrogène. Elle est repose sur une architecture hybride, basée sur un semi-conducteur interfacé avec un catalyseur moléculaire. L'ensemble ne renferme que des éléments retrouvés en quantité abondante dans la croûte terrestre.
Des chercheurs du CEA-Irig et de l’Institut Néel ont conçu et réalisé une jonction p-n à nanofils d’AlN qui ouvre la voie à une nouvelle famille de LED UV-C à haut rendement. Leur innovation, protégée par un brevet, cible des applications variées, parmi lesquelles la désinfection des surfaces.
Bernard Dieny, chercheur à l’Irig, a joué un rôle éminent dans le développement des « vannes de spin » qui a conduit IBM à commercialiser en 1997 des têtes de lecture de disques durs utilisant la magnétorésistance géante – huit ans seulement après sa découverte par Albert Fert et Peter Grünberg (Prix Nobel 2007). Une étonnante success story, racontée en détail par Bernard Dieny et ses collaborateurs, grâce au Computer History Museum, et qui se renouvelle depuis 2002 à Spintec, au sein du CEA-Irig.
Des chercheurs de l'Irig (CEA) travaillent sur un complexe protéique dont l’activité est contrôlée par les changements de température, et qui régule l’expression de gènes impliqués dans la croissance et la floraison des plantes.
Parlera ou parlera pas ?... Des chercheurs du CEA-Irig (IBS) montrent avec précision comment une métalloprotéine bactérienne contrôle l’expression de certains gènes. Il suffit d’un électron et d’un proton !
Comme des gouttelettes d'huile dans l'eau...le virus de la rougeole, comme d'autres de la famille des paramyxovirus, protège son génome de façon étonnante. Explications au CEA-Irig.
L'expression des gènes est régulée par des ajouts de groupes chimiques sur certaines parties de l'ADN. Des chercheurs de l'Irig ont découvert le rôle d'un de ces acteurs épigénétiques (crotonylation), jusque là mal connu.
Des chercheurs du CEA-Irig ont découvert que MAP6, une protéine neuronale découverte pour sa capacité à stabiliser les microtubules, se localise au coeur des microtubules, dans leur lumière.
Des chercheurs du CEA-Irig et de l’Unité mixte de physique CNRS-Thales proposent une nouvelle approche spintronique utilisant la ferroélectricité. Elle permet pour la première fois de manipuler des courants de spin à l’aide d’interfaces non-magnétiques, contrôlées par des champs électriques. Résultat : une réduction potentielle d’un facteur mille de la consommation électrique de dispositifs spintroniques non volatils !
Cette étude du CEA-Irig apporte un nouvel éclairage sur le contrôle de la biogenèse du chloroplaste et ouvre de nouvelles perspectives dans la compréhension des mécanismes qui régulent son fonctionnement.
Des chercheurs du CEA-Irig ont élucidé la cascade d’activation de l'une des 4 toxines de Bacillus thuringiensis qui ciblent spécifiquement les larves de moustiques pour les empêcher de devenir des vecteurs de maladies ravageuses.
Des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires révèlent pour la première fois un effet de magnétorésistance unidirectionnelle dans le germanium, un semi-conducteur utilisé en microélectronique. Cet effet déjà observé dans deux matériaux non magnétiques est ici cent fois plus intense. Une voie s’ouvre pour le transistor à spin !
Des chercheurs du CEA-Irig et de l’Institut Néel ont mis au point un ensemble d’innovations théoriques qui ouvre la voie à la simulation de systèmes quantiques de très grandes tailles – de l'ordre d’un millier d’atomes – dans un environnement électrostatique complexe, tel que celui d’une cellule photovoltaïque ou d’une diode électroluminescente organiques.
Une équipe de l’Irig livre à la collaboration internationale Bicep Array des cryoréfrigérateurs sub-kelvin, destinés à des détecteurs bolométriques qui viseront depuis l’Antarctique le fond diffus cosmologique. Leur sensibilité autorisera l’observation de traces témoignant de la période d’expansion extraordinaire de l’Univers juste après le big bang : l’inflation.
Une collaboration conduite par l’Irig a développé un algorithme permettant de résoudre le « problème quantique à N corps » jusqu’à des ordres élevés (environ 15), bien au-delà de ce qui était possible jusqu’à présent (environ 7). Un progrès important qui ouvre de nombreuses pistes pour décrire aussi bien les puces des futurs ordinateurs quantiques que des « matériaux corrélés » comme les supraconducteurs à haute température critique, notamment les cuprates.
L'impact des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), reconnus cancérigène par l'OMS, s'avère plus important lorsqu'il est relié à une exposition aux UV. Explications à l'Irig.
Des chercheurs de l'Irig ont caractérisé la structure d'une protéine fluorescente entre ses positions "on" et "off". Avec des applications en imagerie du vivant.
Des chercheurs de l’Irig sont parvenus à optimiser la conversion spin-charge dans un empilement comprenant une couche ferromagnétique en titanate de strontium. Cet effet produit dans un gaz bidimensionnel d'électrons, six fois plus important que l’état de l’art, pourrait s’appliquer à la lecture d'informations basée sur le spin dans de nouvelles conceptions de mémoires et de transistors.
Responsable d’infections pulmonaires chez les personnes vulnérables, la bactérie Pseudomonas aeruginosa possède plusieurs cordes de virulence à son arc. Une collaboration entre l'Irig et des médecins du CHU de Grenoble vient en effet de permettre la découverte d’un nouveau système de virulence, s’ajoutant à celui déjà connu.
Une équipe de jeunes chercheurs encadrée par une biologiste de l'Irig remporte la médaille d'Or de la plus grande compétition internationale de biologie synthétique organisée par le MIT.
Après avoir obtenu une première émission laser infrarouge à 230 K (- 43°C) dans une nanostructure en alliage germanium-étain, des chercheurs de l’Irig élargissent la gamme de fréquences de l’émission et élèvent la température de fonctionnement à 273 K (0°C).
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.