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Organisme partenaire de l'Université Paris-Saclay
Le centre CEA Paris-Saclay rassemble près de 7 000 personnes sur plusieurs sites géographiques proches de Paris, au sud et au sud-ouest de la région Île-de France. Créé en février 2017, le CEA Paris-Saclay regroupe des sites historiques du CEA, Fontenay-aux-Roses et Saclay, et des sites plus récents (Évry). Plusieurs équipes de recherche du CEA Paris-Saclay travaillent au sein d’établissements du CNRS, des universités d’Orsay, Paris ou encore de Caen. Le CEA Paris-Saclay est l’un des neufs centres du CEA, établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) sous tutelles du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI), Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie ou bien encore du Ministère de l’économie et des finances.
Toutes les dernières actualités scientifiques et institutionnelles des instituts du centre CEA Paris-Saclay.
Appel d'offres du CEA Paris-Saclay
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Actualité
La concentration moyenne de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère a franchi un nouveau palier à 420 parties par million. C’est ce que révèlent les mesures continues du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) effectuées à l’observatoire de l’Île Amsterdam dans l’hémisphère Sud.
En 2023, l’écosystème terrestre a perdu plus de la moitié de sa capacité d’absorption du CO2 atmosphérique. Cette conclusion d’une étude internationale associant le CEA soulève des incertitudes et inquiétudes quant à la stabilité future du climat. Elle appelle à la prise urgente de mesures.
Des physiciens de l’Iramis et leurs partenaires détaillent la formation de cristaux bidimensionnels de matière active : elle s’accompagne de déformations extrêmes à grande échelle.
Des physiciens de l’IPhT (CEA – CNRS) spécialisés dans les systèmes complexes ont publié une analyse sur la dynamique des activités de la ville de Paris au XIXème siècle. Leurs travaux se sont appuyés sur des données historiques et ont permis de déterminer de nouvelles caractéristiques sur le développement économique d’une grande ville durant l’ère industrielle.
En utilisant une analogie fortuite avec le formalisme des matrices aléatoires, Gregory Korchemsky de l’IPhT et deux physiciens théoriciens hongrois ont développé une nouvelle méthode pour calculer une classe d'observables dans le contexte de l’interaction forte et de l’hypothèse simplificatrice de la supersymétrie.
Le centre CEA de Paris-Saclay qui regroupe notamment des sites à Saclay, Fontenay-aux-Roses et Evry s'est mobilisé pour proposer des visites et des explications pédagogiques au grand public.
La mission spatiale Euclid révèle au Congrès international d’astronautique de Milan le premier morceau de sa grande carte 3D de l'Univers. Cette mosaïque de 208 gigapixels montre déjà une centaine de millions d'étoiles et de galaxies, avec des images aux résolutions époustouflantes générées par deux experts du CEA-Irfu sous la supervision de l’Esa.
Une nouvelle étape a été franchie dans le projet COMCUBE auquel participe le CEA-Irfu. Elle consistait à tester les performances d’un nouveau télescope capable de détecter les rayons gamma et de mesurer leur polarisation. Ce résultat positif ouvre la voie au projet suivant, COMCUBE-S, qui aura pour objectif de récolter des données inédites sur les phénomènes cosmiques à l’origine des sursauts gamma.
Des chercheurs du CEA-Jacob et de l'Institut Gustave Roussy déroulent pour la première fois le développement de leucémies pédiatriques à partir de jeunes cellules sanguines humaines normales et d’un évènement génétique classique de ces leucémies chez l’enfant. Ces travaux révèlent des vulnérabilités cellulaires pouvant servir de cibles thérapeutiques.
De nouvelles variations rapides des concentrations de dioxyde de carbone dans l'atmosphère au cours des 500 000 dernières années, appelées « sauts de CO2 », ont été mises en évidence par le projet Hotclim de l’IGE (CNRS/Inrae/IRD/UGA/Grenoble INP). Associant le LSCE (CEA/CNRS/UVSQ), l’étude internationale montre que ces évènements pourtant majeurs sont dix fois inférieurs au taux d’augmentation actuel des concentrations de CO2 d’origine anthropique.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.