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Organisme partenaire de l'Université Paris-Saclay
Le centre CEA Paris-Saclay rassemble près de 7 000 personnes sur plusieurs sites géographiques proches de Paris, au sud et au sud-ouest de la région Île-de France. Créé en février 2017, le CEA Paris-Saclay regroupe des sites historiques du CEA, Fontenay-aux-Roses et Saclay, et des sites plus récents (Évry). Plusieurs équipes de recherche du CEA Paris-Saclay travaillent au sein d’établissements du CNRS, des universités d’Orsay, Paris ou encore de Caen. Le CEA Paris-Saclay est l’un des neufs centres du CEA, établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) sous tutelles du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI), Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie ou bien encore du Ministère de l’économie et des finances.
Toutes les dernières actualités scientifiques et institutionnelles des instituts du centre CEA Paris-Saclay.
Appel d'offres du CEA Paris-Saclay
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Actualité
En combinant de manière inédite chimie-click et spectrométrie de masse, des chercheurs de l’Institut Joliot et d’INRAE sont parvenus à analyser simultanément plusieurs biomarqueurs cancéreux, non seulement in vitro, mais également dans un modèle animal in vivo. Cette technique, potentiellement applicable à plusieurs dizaines de biomarqueurs, ouvre la voie à des traitements d’immunothérapie personnalisés contre le cancer.
Après un épisode majeur de poussières sahariennes en mars 2022, une campagne scientifique participative a permis de récolter plus de 100 prélèvements dans six pays d’Europe de l’Ouest. Selon une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), les signatures isotopiques en plutonium des échantillons coïncident avec celles des retombées globales, largement dominées par les essais nucléaires des États-Unis et de l’ex-URSS, et sont sensiblement différentes de celles attribuées aux essais français.
Des équipes de l’Iramis/LLB ont mis au point un nouveau spectromètre neutronique « Sharper », implanté à l’Institut Laue-Langevin et piloté en collaboration avec le CEA-Irig. Par rapport au modèle précédent, il offre un gain important en taux de comptage, résolution et énergie. Sa vitesse d’acquisition de données et sa résolution spectrale en font un outil extrêmement utile pour la recherche dans de nombreux domaines scientifiques et industriels.
Des chercheurs de l’IPhT et leurs partenaires ont développé une méthode de simulation de l’interaction forte, applicable à une très large gamme d’énergies et jusqu’à dix fois plus précise que les précédentes, grâce à un lien renforcé avec la physique sous-jacente. Un outil précieux pour la recherche d’une nouvelle physique dans les collisionneurs de hadrons comme le LHC au Cern !
Le tokamak West du CEA est parvenu à maintenir un plasma pendant plus de 22 minutes le 12 février. Il bat ainsi très largement le record précédent de durée de plasma obtenu dans le tokamak chinois East.
Une nouvelle étude menée par le CEA, présente une approche innovante permettant de relever les principaux défis des échanges des isotopes de l’hydrogène (deutérium) en offrant un processus efficace, reproductible et évolutif.
Le mardi 4 février, le centre CEA de Paris-Saclay a accueilli plus d'une centaine de lycéens dans le cadre de l'opération « Scientifique-toi aussi ! ».
Les équipes du CEA-Irfu ont mis au point en un temps record le trajectographe TPOT grâce au laboratoire Micro-Pattern Gas Detector (MPGD). Ce détecteur répond aux besoins de l’expérience sPHENIX qui étudie la matière dans des conditions extrêmes de température et de pression auprès du collisionneur RHIC.
Mesurant quelques dizaines de mètres seulement, ils orbitent dans la ceinture principale d’astéroïdes du système solaire : ces 138 astéroïdes, jusqu’ici invisibles car trop peu brillants, ont été découverts dans des images d’exoplanètes du télescope spatial James Webb par une collaboration internationale incluant le CEA-Irfu. Une première !
En s’appuyant sur de nouvelles observations du télescope spatial James Webb, une collaboration menée par le CEA-Irfu et associant la NASA ainsi que de nombreux groupes de recherche européens, propose une hypothèse inédite concernant l’atmosphère – si elle existe – d’une planète rocheuse tempérée, située à 40 années-lumière de nous.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.