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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Une équipe du GHU Paris et du SHFJ a étudié, en IRM cérébrale, l’intégrité du locus coeruleus et du noyau basal de Meynert, chez des patients atteints de maladie d’Alzheimer (MA) précoce, d'encéphalopathie TDP-43 liée à l'âge (LATE) et de démence fronto-temporale (DFT). Les 2 structures sont altérées dans la MA précoce, la LATE et probablement la DFT, faisant de ces zones neuromodulatrices des cibles thérapeutiques potentielles
Trois laboratoires de la DES et de la DRF ont développé un algorithme de Machine Learning innovant pour l’amélioration de la reconstruction d’images TEP acquises dans le cadre du projet ClearMind, une technologie basée sur la détection des photons gamma par un détecteur à cristaux monolithiques de tungstate de plomb. Un pas vers une imagerie TEP plus précise.
Une étude menée par des chercheurs de NeuroSpin révèle des anomalies de la connectivité cérébrale fonctionnelle dans la région des sous-noyaux de l’amygdale (centre des émotions), chez des patients atteints de trouble bipolaire. Ces anomalies, dépendantes de l’état d’humeur, dépressif ou maniaque, constituent de potentiels biomarqueurs d’intérêt.
Une équipe de BioMaps a suivi, en imagerie TEP, le métabolisme du glucose comme marqueur de l'impact cérébral du sevrage tabagique, ainsi que les effets d’un candidat-médicament prometteur pour le traitement d’un tel sevrage. En révélant la restauration de l’activité normale de la zone cérébrale associée au craving, ces résultats sont porteurs d’espoir pour l’arrêt du tabac chez l’Homme.
Une équipe de l’I2BC a révélé la structure de la région C-terminale transmembranaire de la protéine nsp3 du SARS-CoV-2, essentielle à la réplication du virus. Cette région s’auto-assemble en hexamères façonnant des pores moléculaires à la surface de vésicules à double membrane, sièges de réplication du génome viral. Nsp3 apparaît donc comme une cible thérapeutique prometteuse
Une équipe de NeuroSpin a analysé en MEG la réponse de volontaires exposés à des séquences de sons organisées en réseau. Constatant que l’activité cérébrale des participants était sensible à la structure du réseau, elle conclue que l’apprentissage de la structure des séquences auditives relève d’un unique processus cognitif, l’apprentissage associatif.
Une équipe du SCBM met au point une méthode d’échange isotopique du soufre pour le marquage de molécules biologiquement actives. Telle une plateforme isotopique multi-échangeable, le procédé permet également un échange isotopique du carbone et d’hydrogène donnant accès à un grand nombre d’isotopologues. L’équipe met en avant le potentiel de la méthode pour vérifier l’authenticité de molécules organiques commerciales.
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Ce jeudi 19 septembre a eu lieu la cérémonie de remise des prix du concours d'innovation opéré par Bpifrance pour le compte de l'Etat. Ce concours distingue en particulier, au travers du prix i-Lab, les startups deeptech les plus prometteuses avec à la clé un financement pouvant aller jusqu'à 600 000 euros. Pour cette 26ème édition, quatre des huit projets soumis par le CEA ont été distingués d'un i-Lab, dont un grand prix.
L’Université Paris-Saclay, le CEA, l’AP-HP, l’Inserm et leurs partenaires académiques, associatifs et industriels, ont organisé le 17 septembre une matinée de lancement de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Prometheus, lauréat de la vague 2023 de cet appel à projets opéré pour le compte de l’État par l’Agence nationale de la recherche (ANR). Financé dans le cadre de France 2030 à hauteur de 40 M€, l’IHU Prometheus s’est fixé pour ambition de réduire de moitié, dans les dix ans, la mortalité et les séquelles causées par le sepsis.
Ce 20 juin 2024 marque le lancement institutionnel de l’Institut Hospitalo-Universitaire Robert-Debré du Cerveau de l’Enfant. Dédié au développement cognitif et aux vulnérabilités de l’enfant en France, cet IHU est basé sur un partenariat entre l’AP-HP, l’Inserm, l'Université Paris Cité, le CEA et l’Institut Pasteur.
NeuroSpin
Photosynthèse, l'énergie pour les plantes...et pour l'humanité ?MOOC de Bruno Robert, chercheur.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.