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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
La startup Noetica Pharma issue des travaux du laboratoire LENIT d’Aloïse Mabondzo au SPI (DMTS) a été créée le 1er septembre 2025. Elle vise à développer des thérapies innovantes pour empêcher la survenue de l’encéphalopathie hypoxique-ischémique néonatale.
La 5e école thématique du projet NOMATEN, visant à promouvoir la recherche sur des matériaux innovants pour des applications industrielles et médicales, dont l'institut Joliot et la DES du CEA sont partenaires, s'est tenue au VTT (Espoo, Finlande).
Les équipes du SHFJ, le Service hospitalier Frédéric Joliot, développent depuis près de 70 ans des radiopharmaceutiques innovants et les outils d’imagerie associés. Objectif : améliorer les diagnostics et traitements, notamment des cancers et des maladies neurologiques, grâce à la médecine nucléaire.
CERES BRAIN Therapeutics, startup issue de travaux de recherche menés au SPI (DMTS), reçoit un soutien financier de la fondation ARSLA pour mener des travaux de preuve d’efficacité de son candidat médicament sur des cellules de patients atteints de la maladie de Charcot.
La médecine nucléaire est une spécialité médicale utilisant la radioactivité à des fins diagnostiques ou thérapeutiques, voire théranostiques. Le CEA, acteur historique à l’origine de cette discipline en France, a largement accompagné sa diffusion dans les hôpitaux. Il reste encore aujourd’hui un partenaire stratégique pour la filière, tant pour la production de radioisotopes qu’en recherche clinique. Retour sur le lancement de cette épopée.
Membre du « Réseau doctoral » METAMIC 3 du programme cadre Horizon Europe, le LI2D (SPI/DMTS à Marcoule) finance deux thèses dans le domaine de l’analyse métaprotéomique des microbiomes. L’une concerne l’étude dynamique du microbiote des voies respiratoires de patients atteints de mucoviscidose traités par un modulateur de la protéine CFTR. L’autre vise à améliorer les méthodes d'acquisition par spectrométrie de masse afin d'obtenir un maximum d'informations sur les microbiomes.
TERA (Technion-Ramban Initiative in Medical AI) et le Health Data Hub ont annoncé le lauréat de leur financement binational franco-israélien. Il s’agit du projet K-SPARK, porté par Philippe Ciuciu (équipe Inria – CEA MIND) et Efrat Shimron (Technion - Israel Institute of Technology), qui vise à développer une technologie basée sur l'IA capable de réduire la durée des examens IRM et spécialement conçue pour la morphométrie cérébrale de haute précision.
Les résultats des ERC Starting Grants 2025 sont tombés et, avec eux, une bonne nouvelle pour Charles Laïdi (NeuroSpin) qui a obtenu un financement pour son projet CLOVIS : le cervelet, une cible personnalisée transdiagnostique pour la neuromodulation en psychiatrie.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.