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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Imagerie médicale | Diagnostic et thérapies innovantes
Département
Le Service Hospitalier Frédéric Joliot (SHFJ), dirigé par Bertrand Kuhnast, est un centre d'imagerie moléculaire et fonctionnelle installé sur le site hospitalier d'Orsay. Il assure une mission de service médical et une mission de recherche et développement qui s'inscrit principalement dans les trois disciplines suivantes : l'oncologie, la neurologie et la pharmacologie. Ces recherches ont pour objectif la création de nouveaux outils d'imagerie pour améliorer le diagnostic et l'évaluation des thérapies innovantes.
Les équipes du SHFJ, le Service hospitalier Frédéric Joliot, développent depuis près de 70 ans des radiopharmaceutiques innovants et les outils d’imagerie associés. Objectif : améliorer les diagnostics et traitements, notamment des cancers et des maladies neurologiques, grâce à la médecine nucléaire.
La médecine nucléaire est une spécialité médicale utilisant la radioactivité à des fins diagnostiques ou thérapeutiques, voire théranostiques. Le CEA, acteur historique à l’origine de cette discipline en France, a largement accompagné sa diffusion dans les hôpitaux. Il reste encore aujourd’hui un partenaire stratégique pour la filière, tant pour la production de radioisotopes qu’en recherche clinique. Retour sur le lancement de cette épopée.
Des chercheurs de BioMaps (SHFJ) ont étudié l’activité hépatique des peptides transporteurs d’anions organiques (OATPs), essentiels dans l’élimination de certains médicaments, par imagerie TEP au 11C-glyburide, qui a permis d’observer des différences dans la pharmacocinétique du traceur entre les hommes et les femmes.
Des chercheurs du SHFJ, en collaboration avec le CEA-Jacob, le CRN à Lyon et le PharmaCenter à Bonn ont imaginé, synthétisé et caractérisé deux radiotraceurs TEP ciblant P2Y12, une protéine impliquée dans l’activation de la microglie durant la neuroinflammation.
Des chercheurs de BioMaps démontrent l’intérêt de l’immunoTEP pour évaluer l’efficacité d’une immunothérapie anticancéreuse et ajuster son dosage en cours de traitement.
Une équipe de BioMaps, en collaboration avec le laboratoire de mathématique d’Orsay, a développé PET KinetiX, un logiciel qui permet de générer des cartes paramétriques de fonctions biologiques avancées à partir d’images TEP dynamiques. Ce type de logiciel pourrait contribuer à accélérer le transfert clinique de ces biomarqueurs TEP avancés en pratique clinique.
Des chercheurs de BioMaps (SHFJ), NeuroSpin et de l’IRBA ont mis au point une approche originale basée sur l’utilisation d’ultrasons focalisés pour améliorer la délivrance cérébrale d’un antidote, l’oxime, suite à une exposition à un agent neurotoxique organophosphoré chez un modèle murin.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.