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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Imagerie médicale | Diagnostic et thérapies innovantes
Département
Le Service Hospitalier Frédéric Joliot (SHFJ), dirigé par Bertrand Kuhnast, est un centre d'imagerie moléculaire et fonctionnelle installé sur le site hospitalier d'Orsay. Il assure une mission de service médical et une mission de recherche et développement qui s'inscrit principalement dans les trois disciplines suivantes : l'oncologie, la neurologie et la pharmacologie. Ces recherches ont pour objectif la création de nouveaux outils d'imagerie pour améliorer le diagnostic et l'évaluation des thérapies innovantes.
Une équipe du laboratoire BioMaps, en collaboration avec l’Institut Galien Paris-Saclay a mis au point une stratégie innovante associant une prodrogue polymère et l'imagerie par tomographie par émission de positons (TEP) pour améliorer l'efficacité de la mertansine, un agent antitumoral puissant mais toxique.
Le 5 juin, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un focus sur la plateforme d’imagerie préclinique de BioMaps, qui s’est dotée d’un imageur hybride TEP/TDM afin de renforcer les capacités d’analyse de la plateforme, ce nouvel imageur permettant de réaliser des acquisitions simultanées sur plusieurs rongeurs.
Des chercheurs du SHFJ, de NeuroSpin et du GHU Paris Psychiatrie & Neurosciences mettent en évidence des différences dans les altérations des faisceaux de substance blanche entre des patients diagnostiqués Alzheimer et d’autres vraisemblablement atteints de la pathologie LATE.
Des chercheurs du SPI proposent des approches immuno-diagnostiques et immuno-thérapeutiques basées sur l’utilisation d’anticorps innovants, ciblant deux sous-types de récepteurs aux endothélines (ETA et ETB), désormais reconnus comme cibles thérapeutiques pertinentes en oncologie.
Des chercheurs du SIMoS, du SPI (DMTS) et de BioMaps (SHFJ) rapportent le développement d’une nouvelle molécule, MQ232, dérivée de la mambaquarétine. Antagoniste spécifique du récepteur V2 de la vasopressine, MQ232 s’avère être un candidat-médicament prometteur pour la prise en charges de pathologies rénales.
En janvier, le laboratoire BioMaps (SHFJ) a accueilli un nouvel imageur IRM 0,55 T, le MAGNETOM Free.Max. Avec cet imageur, BioMaps se dote d’un des tous premiers systèmes pour l’IRM clinique bas-champ qui permet d’appréhender des questions spécifiques.
Le kick-off du projet européen OASIS s’est tenu le 28 janvier 2025. Coordonné par Pr. Barbabara Pistilli de Gustave Roussy, le projet centré sur l’optimisation des anticorps conjugués (ADCs) implique l’équipe de Charles Truillet, chercheur spécialiste d’immunoTEP au laboratoire BioMaps (SHFJ).
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.