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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Imagerie médicale | Diagnostic et thérapies innovantes
Département
Le Service Hospitalier Frédéric Joliot (SHFJ), dirigé par Vincent Lebon, est un centre d'imagerie moléculaire et fonctionnelle installé sur le site hospitalier d'Orsay. Il assure une mission de service médical et une mission de recherche et développement qui s'inscrit principalement dans les trois disciplines suivantes : l'oncologie, la neurologie et la pharmacologie. Ces recherches ont pour objectif la création de nouveaux outils d'imagerie pour améliorer le diagnostic et l'évaluation des thérapies innovantes.
Des chercheurs de NeuroSpin en collaboration avec le SHFJ montrent que l'application d'ultrasons focalisés pour ouvrir la barrière hémato-encéphalique (BHE) a un impact sur l'expression de certains transporteurs d'efflux.
Des chercheurs du SHFJ, en collaboration avec l’université de Vienne, ont étudié l’impact de médicaments modulateurs du cytochrome P450 sur la pharmacocinétique du 11C-métoclopramide, un radiotraceur utilisé pour suivre le fonctionnement de la P-glycoprotéine, un transporteur d’efflux au niveau de la barrière hémato-encéphalique.
Le 9 février dernier, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un 3e focus sur la plateforme d’imagerie in vivo du SHFJ avec ses différents plateaux techniques d’imagerie TEP adossés à une plateforme de radiochimie qui permet d’envisager le suivi de plusieurs biomarqueurs chez un même patient. Exemple avec la maladie d’Alzheimer.
Des chercheurs du laboratoire BioMaps (SHFJ) et du Service d’Ingénierie Moléculaire pour la Santé (SIMoS, DMTS) ont développé une approche enzymatique pour la radiofluoration d'un Fab anti-PD-L1 et comparé ses propriétés in vivo au même Fab marqué de manière stochastique par deux méthodes conventionnelles.
Des chercheurs de BioMaps (SHFJ) et de l’ISMO (Orsay) ont démontré l’intérêt des nanoparticules de platine comme potentiels agents radiosensibilisants pour la radiothérapie.
Des chercheurs du SHFJ, en collaboration avec NeuroSpin, montrent que l’utilisation des ultrasons focalisés n’augmente pas les effets thérapeutiques du cetuximab sur le glioblastome bien que l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique soit transitoirement efficace.
Le 25 novembre, la fondation ARSEP (Aide à la Recherche sur la Sclérose en Plaques) a invité quatre chercheurs, dont Michel Bottlaender (SHFJ/NeuroSpin), pour un plateau TV inédit au cours duquel les chercheurs ont présenté le projet INFLANET «Et si l’imagerie pouvait aider à contrôler la maladie».
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.