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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Focus | prévisualisation | Plateforme & installation | Article | Chimie | Radioactivité
Département SDV de l'Université Paris-Saclay
Le 7 décembre, le département SDV de l'Université Paris-Saclay a publié sur Scoop.it un focus sur la plateforme de marquage isotopique du SCBM (DMTS) où les chimistes développent des matériaux lumineux innovants qui, lorsqu'ils sont excités par les électrons issus de la désintégration du tritium, émettent de la lumière rouge. Un pas vers la conception de dispositifs radioluminescents pour des applications cliniques liées à la neurodégenerescence.
La maladie de Parkinson touche plus de 8 millions de personnes dans le monde et les traitements actuels ne sont que symptomatiques. Un dispositif de photobiomodulation, mis au point par les chercheurs de Clinatec (CEA-LETI), se révèle prometteur grâce à l'illumination de la substance noire, siège de la maladie, mais ce dispositif reste invasif. Un projet collaboratif entre Clinatec, le LITEN et le LETI (CEA Grenoble) et le service de marquage isotopique du SCBM explore une solution alternative : utiliser la radioluminescence pour créer de nouveaux implants autonomes capables d'émettre de la lumière rouge. Les chercheurs ont démontré qu'en incorporant des luminophores dans des aérogels et en excitant le tritium qu'ils contiennent, il est possible de produire des sources lumineuses compactes et durables. Un banc de mesure spécifique a été développé pour évaluer ces dispositifs. Ces travaux, qui ont fait l'objet d'un brevet et d'une publication, se poursuivent dans le cadre du projet ANR Radiolight visant à améliorer les implants en optimisant les matériaux radioluminescents afin d'obtenir une plus grande luminosité avec une teneur en tritium réduite. Pour en savoir plus sur les travaux collaboratifs en cours entre l'équipe de Grégory Pieters et Clinatec, lisez l'article publié par Life Sciences UPSaclay sur son compte Scoop.it : « La radioluminescence au service de la photobiomodulation intracranienne. » Contact : Grégory Pieters (gregory.pieters@cea.fr) Retrouvez la plateforme de marquage isotopique du SCBM sur Plug in Labs Université Paris Saclay : https://www.pluginlabs-universiteparissaclay.fr/fiche/mts-plateforme-de-marquage-isotopique/
I. Muñoz Velasco et al., "Exploring the Potential of a Radioluminescent Light Source for Photobiomodulation," in IEEE Transactions on Nuclear Science, vol. 72, no. 7, pp. 2089-2096, July 2025, https://dx.doi.org/10.1109/TNS.2025.3541916
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