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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des équipes du LMC et du LMT décrivent une méthodologie leur permettant d’accélérer une réaction « click-and-release » qu’ils avaient découverte en 2017 et qui pourrait faciliter la délivrance de certains médicaments. Leur astuce : « chlorer » l’un des deux composants de la réaction.
Un consortium de chercheurs, parmi lesquels les spécialistes de l’analyse métabolomique du SPI/DMTS, présente PeakForest, une base de données de spectres RMN et de masse qui fournit des services de stockage et d'annotation de spectres de composés de référence ainsi que de profils métaboliques de matrices biologiques. Un outil ouvert pour répondre aux besoins évolutifs de la discipline.
Une équipe du Li2D a rendu public le profil peptidomique du virus responsable de la variole du singe, qu’elle a établi grâce à la spectrométrie de masse en tandem.
Une équipe du SIMoS (DMTS) isole et caractérise une toxine du venin de mamba noir, dont les propriétés anticholinergiques spécifiques du récepteur à l'acétylcholine de type 2, un régulateur de la tonicité artérielle, la positionnent comme candidat-médicament potentiel pour le traitement des maladies cardiovasculaires.
Une collaboration dirigée par une équipe de NeuroSpin a entrepris de mesurer le rapport signal sur bruit (SNR) en IRM au centre d’un fantôme sphérique à différentes intensités de champ magnétique (B0). Leurs données confirment les théories selon lesquelles le SNR augmente avec environ le carré de B0.
Des chercheurs de NeuroSpin, en collaboration avec l’Iramis et l’Université Statale de Milan, ont mis au point une séquence CEST de spectroscopie par résonance magnétique leur permettant de détecter et confirmer la présence de trois dipeptides dans le cerveau et les muscles squelettiques de rats adultes. De futures études de leur rôle physiologique à la clef ?
Dans le cadre du projet de recherche interdisciplinaire consacré à la grotte Chauvet, une équipe de l’I2BC, du MNHN et de l’Ins. Génétique & Développement (Rennes), a étudié, par des approches multidisciplinaires allant de la datation 14C à l'analyse des génomes anciens, un excrément fossilisé qui s'est avéré être celui d'un canidé ayant consommé de l'ours des cavernes.
Une équipe de l'I2BC a analysé, à l'échelle du génome de la levure S.cerevisiae, les interactions fonctionnelles entre le Médiateur de la transcription des gènes et des protéines de la réparation de l'ADN et contribue à revoir les liens entre ces deux processus fondamentaux pour la cellule.
Une équipe de NeuroSpin a développé une méthode pour maximiser la correction des inhomogénéités du champ magnétique statique des IRM haut champ et a conçu un prototype, le fourreau de shim Scotch, pour la mettre en œuvre. Dans un article publié dans NeuroImage, l’équipe montre que Scotch remplit son rôle avec une précision inégalée.
Des chercheurs du SIMoS et du SPI (DMTS) montrent que l’ingénierie moléculaire d’anticorps de lama, capables de neutraliser SARS-CoV-1, permet d’obtenir des anticorps optimisés avec des affinités très élevées pour SARS-CoV-2 et ses variants, les responsables de l’épidémie de Covid-19.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.