Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs du SHFJ et du SIMoS ont développé des radioligands optimisés pour l'imagerie par immuno TEP. L’objectif étant de prédire au mieux l’efficacité de l’immunothérapie anti-PD1/anti-PDL1 utilisée pour combattre certains cancers.
Des chercheurs du SCBM décrivent un procédé de marquage par les isotopes de l’hydrogène facile à mettre en œuvre et dont le point de départ est un « simple » mélange, dans un solvant, du produit que l’on souhaite marquer avec un pré-catalyseur. Explications de ce procédé qui trouve des applications dans de nombreux domaines dont le développement de médicaments ou l’imagerie médicale.
Une équipe de BioMaps (SHFJ), en collaboration avec plusieurs groupes hospitaliers, montre que l’imagerie hybride TEP/IRM améliore sensiblement la détection des foyers épileptogènes et, par conséquent, les résultats du traitement chirurgical de l'épilepsie.
Un consortium de chercheurs, piloté par le SPI/DMTS, présente ProMetIS, une étude pilote pour le phénotypage approfondi de lignées murines par combinaison d’approches protéomiques et métabolomiques. Une avancée significative pour la caractérisation fonctionnelle des gènes et le développement d’approches d’intégration bioinformatiques.
Une équipe conjointe du GHU Paris et du SHFJ montre la valeur prédictive des données d’imagerie TEP de la protéine Tau dans l’évolution de la maladie d’Alzheimer.
Grâce à des examens d’IRMf et d’EEG, des chercheurs de NeuroSpin et de l’ICM montrent que la stimulation cérébrale profonde de la partie centrale du thalamus restaure la richesse d’activité cérébrale propre à la conscience, « éteinte » chez un primate non humain anesthésié. Ce travail ouvre la voie à des études cliniques chez des patients atteints de troubles de la conscience.
Une collaboration entre le SHFJ et l’UMR-S 1144 (Université de Paris) montre que l’effet délétère de la combinaison buprénorphine/benzodiazépine résulterait de l'action combinée de chaque médicament sur sa cible.
Grâce à une approche de spectroscopie d'absorption transitoire, une équipe de l'I2BC a montré que les photolyases, enzymes réparatrices de l'ADN, réparent les lésions de l'ADN dues à la lumière UV via deux photoréactions successives.
Des chercheurs de l’institut Frédéric Joliot identifient l’ouabaïne et la chloroquine comme étant deux molécules sénolytiques sélectives et efficaces pour éliminer certaines cellules sénescentes.
L’IRM du sodium à 7T pourrait bien se montrer de plus en plus utile dans l’étude des processus physiologiques des maladies inflammatoires, neurodégénératives ou encore des tumeurs cérébrales. Exemple avec une étude sur la maladie d’Alzheimer, dirigée par une équipe de NeuroSpin.
Haut de page
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.