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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Dans un article publié dans la revue Nucleic Acids Research, des scientifiques de l'I2BC, de l'lPBS et de l'Institute for Structural and Chemical Biology (University of Leicester, UK) démontrent comment l’acide phytique, un produit du métabolisme cellulaire, stabilise l’assemblage d’un complexe permettant la réparation des cassures de l’ADN chez l’Homme.
Des chercheurs du SPI proposent une méthode innovante de multiplexage pour l’identification rapide de plusieurs isolats microbiens en une seule analyse de spectrométrie de masse. Une approche qui ouvre des perspectives d’identification à grande échelle des microorganismes issus de programmes de culturomique.
Des chercheurs du SCBM (DMTS) et du SB2SM (I2BC) décrivent une approche inédite et optimisée de photoréduction totale de CO2 marqué au Carbone 13 en monoxyde de carbone (CO), et la réutilisation immédiate de ce dernier pour la synthèse de composés à haute valeur ajoutée.
Dans un article de revue publié dans Nature Neuroscience, des chercheurs, dont Florent Meyniel d’UNICOG (NeuroSpin), montrent que les deux approches dominantes concernant la représentation neurale de l’incertitude sont complémentaires et gagneraient à être utilisées de façon synergique.
Dans une étude menée par une équipe de l’hôpital Marie Lannelongue, des chercheurs du SPI établissent une différence entre les profils métabolomiques de greffons cardiaques prélevés sur des porcs en état de mort encéphalique ou morts après arrêt circulatoire contrôlé. Ces travaux contribuent à l’exploration et la validation de l’utilisation de cœurs prélevés chez des personnes décédées après arrêt circulatoire contrôlé comme nouvelle source de greffons.
Des chercheurs du SCBM ont utilisé une approche de chimie click-and-release pour libérer un médicament anticancéreux dans des cellules à partir de nanomicelles clivables, grâce à un processus d'activation bioorthogonal. Un pas pour le développement de nouveaux nanomédicaments.
Des chercheurs de l'institut montrent qu’une stratégie fondée sur la formation du radical anion CO2●- marqué au carbone 14 ou carbone 11 s’avère payante pour radiomarquer en conditions douces des médicaments.
Des chercheurs de NeuroSpin montrent que des oscillations neuronales spontanées dans la bande de fréquence 'delta' (0.5-3 Hz), onde des états inconscients, peuvent être observées chez des volontaires humains éveillés en utilisant la MEG. Un pas vers la caractérisation de signaux physiologiques sous-jacents ?
Des chercheurs de BioMaps ont évalué l'effet de plusieurs facteurs sur la distribution du [18F]DPA-714 chez 201 sujets ayant participé à des protocoles d’imagerie TEP au SHFJ pour mieux cerner le rôle de la neuroinflammation dans diverses pathologies neurologiques. Ils concluent à l’importance des mesures du métabolisme individuel dans l’interprétation des images.
Des chercheurs de NeuroSpin, en collaboration avec NeuroPSI montrent que l’effet des ultra hauts champs magnétiques sur l’appareil vestibulaire de souris est transitoire.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.