Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Une collaboration internationale de chercheurs en psychiatrie, pilotée par une équipe de NeuroSpin, a démontré que les algorithmes de « machine learning » permettent d’identifier une signature neuroanatomique de la schizophrénie, reproductible dans les différents sites d’acquisition des images et pour les différentes étapes d’évolution de la maladie.
Une collaboration impliquant le SB2SM (I2BC@Saclay) travaille sur des procédés bio-inspirés pour valoriser le dioxyde de carbone (CO2), véritable fléau écologique. Les chercheurs ont ainsi élaboré un nouveau catalyseur particulièrement efficace pour la réduction du CO2 dans l'eau. Cette étude a été publiée dans Chemical Communications.
Une collaboration entre des équipes du Service de Pharmacologie et Immunoanalyses (LI2A et LEMM) et le Service de Pneumologie et Allergologie Pédiatriques de l'Hôpital Necker, soutenue par l'Aviesan, a mis en évidence une signature métabolique chez des patients atteints d'un syndrome d'entérocolite induit par les protéines alimentaires (SEIPA), une forme sévère d'allergie alimentaire. Ce résultat pourrait permettre une meilleure compréhension des mécanismes de cette allergie et une bonne prise en charge des patients.
Une étude de neuroimagerie par IRM impliquant NeuroSpin, publiée dans Brain, remet en question le modèle théorique dominant expliquant les TSA et pourrait ouvrir la voie à l’exploration de nouvelles approches thérapeutiques.
Un nouvel équipement a récemment été mis en place au SCBM grâce à une collaboration avec des équipes de l’IRFM (Cadarache) afin de mesurer la dilution isotopique du gaz tritium réactionnel. Ces mesures ont permis de déterminer précisément et pour la première fois en dehors des installations de fusion nucléaire, la composition du gaz utilisé en amont et aval de chaque manipulation.
Un consortium international incluant des équipes de NeuroSpin a créé PRIME-DE*, une base de données d’imagerie cérébrale de primates non-humains, ouverte et libre de droits. Cette initiative, décrite dans la revue Neuron, permettra d’augmenter la pertinence statistique des résultats obtenus et de diminuer le nombre d’animaux utilisés.
Les équipes de physiciens de NeuroSpin, en collaboration avec les instituts Fresnel et Langevin ainsi que Multiwave Innovation et Siemens, ont récemment publié dans la prestigieuse Physics Review X leurs travaux sur les métamatériaux pour améliorer la qualité de l’imagerie par résonance magnétique ultra-haut champ. Le dispositif, décrit pour la première fois, permet d’envisager la production de nouvelles antennes IRM rendant la démocratisation possible des appareils ultra-haut champ pour des diagnostics médicaux plus rapides et plus précis.
Une étude menée par une équipe de l’IRCM en collaboration avec des chercheurs de l’Institut Frédéric Joliot et de Gustave Roussy précise la fonction d’une protéine – Rad52 –, considérée depuis peu comme une cible thérapeutique sérieuse dans le traitement de certains cancers du sein.
Une équipe du SB2SM (I2BC@Saclay), en collaboration avec le CNRS, l’Inserm, l’institut Gustave Roussy et les universités Paris-Sud et Aix-Marseille, a résolu par cristallographie la structure de deux complexes protéiques, impliqués dans la réparation des cassures d’ADN radio-induites. Des mutations ciblant les interactions identifiées dans cette étude induisent une augmentation de la radiosensibilité des cellules, un résultat prometteur à long-terme pour la radiothérapie des cancers radiorésistants.
Une équipe du SHFJ (LDM-TEP, GIP Cyceron, Caen) a mené une étude préclinique qui démontre le potentiel de la [18F]Fludarabine, un médicament radiopharmaceutique mis au point et produit par l'équipe pour détecter les lymphomes, pour réaliser, par imagerie TEP, un diagnostic précis du lymphome cérébral. De plus, cette approche permet de distinguer ce dernier du glioblastome, la tumeur cérébrale la plus fréquente. Une étude clinique est prévue d’ici la fin de l’année.
Haut de page
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.