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Direction de la recherche fondamentale
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Les microalgues produisent un puissant gaz à effet de serre, le N2O, durant la photosynthèse. Par cette découverte, les chercheurs du BIAM proposent de réévaluer l’impact sur le changement climatique des écosystèmes aquatiques.
Sensibles et peu coûteux, les capteurs à magnétorésistance géante (GMR) s’invitent dans les biopuces pour détecter une à une des cibles biologiques individuelles, marquées magnétiquement. Cette innovation conjointe de l’Iramis et de l’Institut Joliot intéresse la défense, l’environnement et la santé.
Grâce à des modèles utilisant des données satellitaires, une collaboration internationale impliquant le LSCE montre que le verdissement de la Terre, à l’œuvre depuis quarante ans, aurait modéré le réchauffement global de 0,2 à 0,25°C. Son analyse détaille la géographie, les causes et les conséquences de ce phénomène.
Le capteur de métaux lourds Captot, développé par Iramis-LSI depuis une dizaine d’années, pourrait être appliqué à la détection de traces d’uranium dans l’eau. Une solution de terrain, simple et rapide, pour contrôler l’environnement, par exemple lors de l’assainissement et du démantèlement d’installations nucléaires.
Des chercheurs de l’Irig ont caractérisé la structure et la fonction de la rhodopsine virale, une protéine impliquée dans l’infection d’algues.
L’éruption du volcan islandais Bárðarbunga en 2014-2015 a provoqué une vaste pollution de l’air au dioxyde de soufre et aux particules fines et persistantes (aérosols sulfatés), de la France à la Scandinavie. C’est le résultat d’une étude internationale impliquant le LSCE, s’appuyant sur un réseau européen de mesures de la qualité de l’air.
Le Global Carbon Project auquel participent des chercheurs du LSCE publie aujourd'hui son analyse annuelle des tendances du cycle global du carbone et l’estimation 2019 des émissions mondiales de CO2 d’origine fossile.
Selon une étude internationale impliquant le LSCE, un retournement de tendance du potentiel éolien terrestre a été observé en 2010. Sa corrélation à des mécanismes climatiques bien identifiés laisse entrevoir la possibilité d’optimiser la production éolienne à l’échelle de la durée de vie des installations.
Comment le carbone continental migre-t-il dans l’océan ? Une collaboration internationale et pluridisciplinaire, pilotée par le LSCE, apporte une réponse étonnante pour l’Atlantique Sud. Près de 20 % du puits de carbone océanique régional sont concentrés sur un centième de la surface, dans les « lobes » du canyon sous-marin du fleuve Congo.
Une équipe de l'Institut Joliot et ses partenaires ont montré que l'utilisation d'un accepteur d'électron réversible, c'est-à-dire capable d'accepter et transférer un électron, permet d'optimiser des réactions de photocatalyse propres pour la fabrication de composés organiques d'intérêt.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.