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Direction de la recherche fondamentale
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Selon une étude de l’Iramis (LSI) et de ses partenaires, il est possible, en incorporant à une résine des nanoparticules magnétiques et des sels d’argent, de réaliser par impression 3D des objets possédant des propriétés électriques, magnéto-électriques et antibactériennes intégrées pouvant être couplées entre elles. L’impression 3D devient alors 4D !
Pour la première fois, des chercheurs de l’Iramis et leurs partenaires identifient une supraconductivité non conventionnelle dans un minéral naturel, la miassite Rh17S15, et non pas dans des composés élaborés par des chimistes, comme les cuprates ou les pnictures de fer.
Dans la perspective d’un stockage d’informations à haute densité et sobre en énergie, des chercheurs de l’Iramis et leurs partenaires sont parvenus à commuter, à l’aide d’un couplage magnétoélectrique, des « bulles magnétiques » ou skyrmions, dans des nanostructures multiferroïques de ferrite de bismuth (BiFeO3).
Des physiciens du CEA-Irig et leurs partenaires ont étudié les mécanismes à l’origine de l’émission térahertz dans un système modèle composé d’un empilement de couches CoFeB-PtSe2. Leur conclusion ? Les matériaux bidimensionnels tels que PtSe2 offrent un potentiel intéressant pour des « sources spintroniques » modulables et performantes.
En collaboration avec des cimentiers français, des chercheurs du CEA-Iramis proposent une méthode analytique simple qui permet de prédire le potentiel d’un matériau comme substitut au clinker dans le ciment.
Une collaboration menée par l’Irig et impliquant l’Iramis étudie les courants de spin dans des oxydes magnétiques isolants (YIG) et met en évidence un comportement non linéaire qui pourrait être utilisé à terme pour réaliser des diodes de spin, plus économes en énergie que les diodes classiques.
Des chercheurs du CEA-IRFM, de l’Université d’Aix-Marseille et de General Atomics ont développé un modèle réaliste de l’érosion du tungstène, un matériau réfractaire, privilégié pour les composants exposés au plasma de fusion, à l’intérieur des tokamaks.
Alors que des micro-dépôts de glace affectent la vision ultra-sensible d’Euclid, le consortium impliquant le CEA-Irfu a entrepris de chauffer les miroirs du télescope de manière indépendante. Une procédure inédite, pour préserver les performances nécessaires à l’exploration des propriétés de la matière et de l’énergie noires.
Une équipe associant l’Irig, l’UGA et le CNRS a contribué au développement d’une technique d’analyse chimique, la spectroscopie RMN couplée à la polarisation dynamique nucléaire, permettant d’observer le greffage de médicament sur des nanofibres de cellulose avec une sensibilité bien supérieure à celle des techniques conventionnelles. De quoi détecter une aiguille dans une botte de foin !
Des chercheurs de l’Iramis et de l’ICPEES montrent le potentiel des nano-diamants en matière de photocatalyse. En particulier, les nano-diamants oxydés produits par détonation présentent des performances équivalentes à celles des nanoparticules de dioxyde de titane qui font référence.
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