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Direction de la recherche fondamentale
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Un groupe de chercheurs impliquant le CEA-Irfu a développé un nouvel aimant hybride capable d’atteindre une intensité de 42 teslas. Construit au LNCMI de Grenoble, il rejoint le cercle très fermé (après les USA et la Chine) des plateformes atteignant un champ magnétique supérieur à 40 teslas. Elle est maintenant disponible pour des expériences de physique dans de nombreux domaines de recherche, de la physique du solide au développement d’aimants supraconducteurs de très hauts champs grâce aux matériaux innovants
L'excavation de la colossale caverne qui abritera le futur détecteur de particules Hyper-Kamiokande, au Japon, est terminée : une étape majeure pour l'une des expériences les plus ambitieuses de la physique des particules. Le CEA-Irfu est en première ligne.
Des chercheurs du CEA-DAM en collaboration avec le CEA-IRFU et le CEA-IRESNE ont mis en évidence un nouvel îlot de fission nucléaire asymétrique sur la carte des nucléides. Une large gamme d'isotopes du krypton (Z = 36) entraîne un mode de fission nucléaire asymétrique pour les noyaux de l'ordre des isotopes du mercure (Z = 80). Ces résultats fournissent de nouvelles données pour notre compréhension de l'origine des éléments dans l'Univers ainsi que des processus de production d'énergie.
Des chercheurs du CEA-IPhT ont théorisé une nouvelle méthode d’observation des particules dans le Grand Collisionneur de Hadrons. Ils proposent d’analyser les particules qui résultent des collisions comme un ensemble qui se comporte comme un fluide. Cette « gouttelette » de taille femtoscopique présente l’avantage de pouvoir être réduite à une poignée de paramètres. Elle permet aussi de profiter pleinement des qualités du détecteur ATLAS.
Une équipe du CEA-Irfu est pour la toute première fois parvenue à mesurer précisément la largeur d’un filament interstellaire, lieu de formation des étoiles. Les analyses confirment l’existence d’une échelle caractéristique d’environ 0,1 parsec (environ 3,26 années-lumière). Un résultat obtenu grâce au JWST et qui permet de mieux appréhender la raison pour laquelle les étoiles ne se forment pas avec une masse arbitraire.
Une équipe internationale incluant des chercheurs CEA-Irfu a trouvé dans des données d’archive un nuage d’hydrogène moléculaire sombre. Situé à 300 années-lumière du Soleil, il s’agit du premier nuage moléculaire découvert par fluorescence H2. Ce dernier offre un bel exemple d’étude de l’interaction d’un nuage avec une superbulle.
Deux chercheurs de l’IPhT et du LSCE ont modélisé un système complexe servant à analyser les dynamiques des réseaux d’échange et de commerce. Leur objectif : comprendre les paramètres qui augmente la résilience du réseau et diminue les risques de pénuries. Une étude des systèmes complexes importante qui s’inscrit dans un programme de recherche sur la sécurité alimentaire dans un contexte de crises climatiques et politiques.
Des chercheurs de l’IRAMIS/SPEC/LNO ont étudié les propriétés magnétiques de couches minces de NiFe₂O₄ associées à des couches de BaTiO₃, dans des hétérostructures multiferroïques. Leurs résultats révèlent l’origine d’une perte d’aimantation aux faibles épaisseurs, et proposent une méthode simple pour restaurer l’arrangement magnétique souhaité.
Le principal objectif de la théorie nucléaire à basse énergie est de réussir à décrire de manière réaliste l’interaction forte pour mieux prédire les propriétés nucléaires. L'une des difficultés majeures réside dans le coût numérique de la résolution de l'équation de Schrödinger. Dans ce contexte, des équipes de l’Irfu et de l’Iresne appartenant la collaboration PAN@CEA viennent de repousser les limites des calculs réalisables grâce à des méthodes de réduction de dimensionnalité.
Le projet NUCLEUS qui vise à démontrer une technique inédite de détection des neutrinos de réacteur, vient de franchir une étape. Issue d’une collaboration européenne à laquelle participe l'Irfu, le détecteur a effectué un premier run de mise en service d’une durée de 50 jours. Les chercheurs ont ainsi validé les performances de l’appareil et récolté des données pour la suite. Ce résultat positif ouvre la voie au déménagement de l’installation vers la centrale nucléaire de Chooz, ultime objectif du projet.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.