Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Direction de la recherche fondamentale
Présentation de la Direction de la recherche fondamentale
Retrouvez toutes les ressources multimédia de la DRF
Vous voulez participer au développement de la recherche dans le domaine de la santé, des bioénergies, des énergies,de la physique, de la chimie, des sciences du vivant ? Vous souhaitez un parcours professionnel motivant dans une communauté scientifique pluridisciplinaire ? Rejoignez les équipes de la DRF, ouvertes à la fois sur la recherche internationale et le monde industriel.
Les sols jouent un rôle crucial dans la régulation du climat en stockant une grande quantité de carbone sous forme de matière organique. Cependant, leur capacité à stocker ce carbone sur le long terme reste incertaine. Des chercheurs du LSCE, de l’Université de Rouen Normandie, de l’INRAE et de l’ENS, ont développé une méthode prenant en compte le matériau parental, le type de sol et la profondeur, permettant ainsi d’estimer de manière plus juste les temps moyens de résidence du carbone dans les sols.
Des chercheurs du CEA-Irig ont étudié les effets de deux types de plastiques sur les macrophages, cellules clés de l’immunité. Leurs travaux mettent en évidence des réponses cellulaires différenciées selon la nature du polymère, soulignant un impact potentiel sur l’équilibre du système immunitaire.
Dans des résultats publiés dans Cell, une équipe du CEA-Irig, en collaboration avec une équipe du Laboratoire Reproduction et Développement des Plantes (RDP), a proposé un modèle permettant de comprendre comment l'auxine, une hormone végétale, est responsable d'une grande diversité de réponses transcriptionnelles en fonction du contexte cellulaire.
Une étude collaborative impliquant le LSCE (CEA, CNRS, UVSQ) a révélé comment le changement climatique avait amplifié les tempêtes de poussières Sahariennes et des inondations survenues en Europe fin mars 2024.
Des chercheurs du CEA, du CNRS et d’Aix-Marseille Université, ont réussi à produire de l’heptane uniquement à partir de micro-organismes et de lumière bleue. Publié dans Biofuel Research Journal le 1er septembre, ce résultat ouvre la voie à de nouvelles solutions pour la chimie verte et la production de carburants durables.
Le 26 juillet a été lancé, depuis Kourou à bord du lanceur Vega-C, le premier satellite européen appelé « Microcarb » capable de mesurer la teneur en CO2 dans l'atmosphère et les interactions avec les puits de carbone. Développée par le CNES avec le soutien de laboratoires scientifiques dont le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), MicroCarb vise à apporter des informations permettant d’améliorer notre compréhension du cycle du carbone et d’alimenter les modèles climatiques pour la compréhension du dérèglement climatique.
Une équipe de chercheurs impliquant le LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) vient de publier la toute première analyse sur la capacité d’absorption du carbone par les forêts en fonction de leur âge et de leur localisation. L’étude a ainsi abouti à une cartographie complète de la planète qui montre comment ces taux d’absorption évoluent à la fois dans l’espace et dans le temps. Des résultats qui mettent en évidence la mauvaise gestion des forêts à travers le monde mais propose des solutions.
Des chercheurs du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) ont établi la présence de feux répétés sur un site archéologique, avec des traces de suie datées à 270 000 ans. Une découverte qui soutient l’hypothèse d’un contrôle, tout au moins partiel, du feu à l’époque par des hominidés dans la vallée du Rhône.
Une étude internationale parue dans Nature révèle que les variations saisonnières du méthane (CH4) atmosphérique évoluent de manière contrastée selon les régions du globe. Alors que l’amplitude des variations saisonnières du méthane diminue dans les hautes latitudes nordiques, elle augmente dans les régions tropicales et subtropicales. Ces tendances fournissent des indices précieux sur l’évolution des sources et puits de méthane à l’échelle planétaire.
Suite à la campagne océanographique GEOFLAMME portant sur l’étude du volcan sous-marin Fani Maoré, des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), en collaboration avec l’Ifremer, le laboratoires Géosciences Paris-Saclay, apportent des nouveaux éléments de compréhension de la biogéochimie des sédiments dans un contexte éruptif sous-marin.
Haut de page
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.