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Direction de la recherche fondamentale
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Les structures carbonées sont de bons conducteurs thermiques et de l'électricité. Les tapis de nanotubes de carbone alignés verticalement font partie des nanomatériaux dont l’intérêt est démontré pour la gestion thermique ou le stockage d’énergie pour diverses applications en particulier des supercapacités. L'équipe de chercheurs rassemblée auprès de l'équipe LEDNA du LIDYL montre qu'il est possible de réduire l'empreinte carbone du procédé en faisant croître des nanotubes avec des produits biosourcés.
Des équipes du LSCE ont participé à une étude novatrice qui a permis d’enquêter sur deux séismes du XVème et XVIIème siècle en Italie. Grâce à une approche interdisciplinaire et multi-échelle, les chercheurs ont déterminé la source probable de ces tremblements de terre qui avait causé des dizaines de millier de morts à l’époque et ont trouvé la trace de séismes encore plus anciens. Ces recherches pourraient permettre de mieux anticiper les risques de tremblements de terre
Une collaboration internationale à laquelle participent le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et INRAE révèle que la majeure partie du carbone récemment séquestré dans les écosystèmes terrestres ne provient pas de végétaux vivants.
Une équipe du BIAM vient de révéler une grande diversité de bactéries capable de fabriquer des minéraux à l’intérieur de leurs cellules. La découverte de la biominéralisation chez ces organismes soulève de nombreuses questions sur les bénéfices évolutifs qu’ils en tirent ainsi que sur l’impact environnemental qu’ils peuvent avoir. Ils pourraient inspirer à l’avenir des solutions innovantes pour lutter contre le changement climatique et la pollution.
Après un épisode majeur de poussières sahariennes en mars 2022, une campagne scientifique participative a permis de récolter plus de 100 prélèvements dans six pays d’Europe de l’Ouest. Selon une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), les signatures isotopiques en plutonium des échantillons coïncident avec celles des retombées globales, largement dominées par les essais nucléaires des États-Unis et de l’ex-URSS, et sont sensiblement différentes de celles attribuées aux essais français.
En s’appuyant sur l’analyse de 60 espèces, un consortium international mené par le CNRS et le CEA-Jacob (Genoscope) retrace l’évolution du génome des algues brunes depuis leur émergence. Autant de données accessibles à tous pour lutter contre le changement climatique ou promouvoir des pratiques de mariculture responsables.
Deux ans ont passé depuis le lancement du programme prioritaire de recherche (PPR)- RiOMar coordonné par le CEA pour étudier les écosystèmes côtiers. Dans le cadre du Chantier Rhône-Golfe du Lion, le LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) a mis fin à la phase de prélèvements en Méditerranée pour entrer dans celle des analyses. Objectif : comprendre les conséquences des évènements météorologiques extrêmes sur l'équilibre physico-chimique du milieu marin à l'embouchure du Rhône.
Un groupe de travail international associant deux équipes du CEA détermine la quantité de méthane relâchée dans l’atmosphère en septembre 2022 par les fuites des gazoducs Nord Stream. Estimée à 465 000 tonnes, soit 0,1% des émissions anthropiques annuelles de ce puissant gaz à effet de serre, il s’agit de la plus grande quantité de méthane jamais mesurée pour un seul évènement transitoire.
Le projet européen Beyond EPICA atteint un objectif historique pour les sciences du climat. Une équipe associant des scientifiques du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) a foré une carotte de glace de 2750 m de long, atteignant le socle rocheux présent sous la calotte antarctique. Pour la première fois, les échantillons vont permettre de reconstruire l’histoire du climat de la Terre et de la composition de son atmosphère sur au moins 1.2 million d’années, dépassant le précédent record de 800 000 ans.
Des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) ont pris part à la campagne de mesures océanographiques dans l’archipel Arctique canadien, organisée par la collaboration internationale Refuge-Arctic menée par l’Université Laval à Québec. Enjeux : mieux connaître un des derniers refuges pour les écosystèmes arctiques et prédire sa vulnérabilité vis-à-vis du réchauffement climatique en cours, en s’appuyant sur les traces laissées par les climats du passé.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.