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Direction de la recherche fondamentale
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Des chercheurs du BIAM ont mis en évidence le rôle de la thiorédoxine CDSP32 dans l’ajustement du métabolisme photosynthétique des plantes, en réponse aux fluctuations de leur environnement. Cette découverte pourrait contribuer au développement de cultures mieux adaptées aux défis climatiques.
Des chercheurs du BIAM observent et modélisent la nage des bactéries magnétotactiques, non plus dans l’eau, mais dans un environnement reproduisant plus fidèlement leur habitat naturel. Ils révèlent ainsi un mode singulier d’évitement des obstacles pouvant intéresser la bioremédiation ou la médecine.
Une équipe internationale, incluant des chercheurs du CEA-Irig, a récemment observé que la pyrénoïde des diatomées est entourée d'une membrane faite de protéines, et non de lipides comme dans la plupart des structures intracellulaires. Cette découverte offre de nouvelles perspectives sur le fonctionnement de la photosynthèse chez ces organismes microscopiques.
Des paléoclimatologues du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) montrent qu’au cours de la dernière déglaciation, la calotte glaciaire recouvrant les mers de Barents et de Kara a reculé, non pas sous l’effet d’un océan plus chaud comme l’Antarctique de l’ouest aujourd’hui, mais sous l’effet d’une atmosphère plus chaude.
Une collaboration internationale menée par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) propose un cadre global intégrant diverses données – informations génomiques, mesures du carbone du sol, etc. – afin d'affiner les modèles du cycle du carbone en améliorant la précision de la contribution microbienne.
A l’automne 2024, l’Espagne, la France et l’Italie ont connu des inondations d’une telle intensité que les climatologues les qualifient d’évènements météorologiques extrêmes. La collaboration européenne ClimaMeter coordonnée par un chercheur du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), propose une analyse en établissant un lien direct avec le réchauffement climatique et certains phénomènes naturels.
En s’appuyant sur des images satellite des Alpes européennes, des chercheurs du Centre d’étude de la neige (Météo-France, CNRS) et du CEA-Irig révèlent les conditions favorisant l’efflorescence des micro-algues responsables de la coloration rouge des glaciers. Celles-ci ne devraient pas impacter significativement la fonte des neiges au cours des prochaines décennies.
La température pourrait-elle dépasser 50°C à Paris ? Un tel évènement extrême pourrait survenir d’ici la fin du siècle, dans des conditions qu’analysent les climatologues du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ). Tout dépend du niveau d’augmentation de la température moyenne à la surface du globe et de l’occurrence de phénomènes climatiques naturels comme El Niño.
La concentration moyenne de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère a franchi un nouveau palier à 420 parties par million. C’est ce que révèlent les mesures continues du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) effectuées à l’observatoire de l’Île Amsterdam dans l’hémisphère Sud.
Des chercheurs du Biam (CEA/CNRS/AMU) poursuivent leurs investigations pour décrypter les mécanismes permettant aux algues de fixer le CO2 par photosynthèse. Conduite en collaboration avec la Carnegie Institution for Science de Stanford (Etats-Unis), leur étude propose plusieurs découvertes qui mettent en lumière des voies moléculaires pourtant sous-estimées.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.