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Direction de la recherche fondamentale
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 Des chercheurs du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) ont établi la présence de feux répétés sur un site archéologique, avec des traces de suie datées à 270 000 ans. Une découverte qui soutient l’hypothèse d’un contrôle, tout au moins partiel, du feu à l’époque par des hominidés dans la vallée du Rhône.
Une étude internationale parue dans Nature révèle que les variations saisonnières du méthane (CH4) atmosphérique évoluent de manière contrastée selon les régions du globe. Alors que l’amplitude des variations saisonnières du méthane diminue dans les hautes latitudes nordiques, elle augmente dans les régions tropicales et subtropicales. Ces tendances fournissent des indices précieux sur l’évolution des sources et puits de méthane à l’échelle planétaire.
Suite à la campagne océanographique GEOFLAMME portant sur l’étude du volcan sous-marin Fani Maoré, des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), en collaboration avec l’Ifremer, le laboratoires Géosciences Paris-Saclay, apportent des nouveaux éléments de compréhension de la biogéochimie des sédiments dans un contexte éruptif sous-marin.
Des scientifiques de l'Irig/IBS ont réussi à reconstituer en laboratoire des protéines vieilles de 500 millions d'années, démontrant leur capacité exceptionnelle à fonctionner à haute température et à survivre à des niveaux extrêmes de radioactivité.
Une collaboration impliquant en particulier des chercheurs du CEA-BIAM et du CEA-JOLIOT vient de de démontrer les capacités de dépollution d’une cyanobactérie, Gloeomargarita lithophora capable de capturer le strontium-90, un radionucléide présent dans les effluents des centrales. Cette découverte ouvre la voie vers une bioremédiation très efficace et respectueuse de l’environnement.
Les structures carbonées sont de bons conducteurs thermiques et de l'électricité. Les tapis de nanotubes de carbone alignés verticalement font partie des nanomatériaux dont l’intérêt est démontré pour la gestion thermique ou le stockage d’énergie pour diverses applications en particulier des supercapacités. L'équipe de chercheurs rassemblée auprès de l'équipe LEDNA du LIDYL montre qu'il est possible de réduire l'empreinte carbone du procédé en faisant croître des nanotubes avec des produits biosourcés.
Des équipes du LSCE ont participé à une étude novatrice qui a permis d’enquêter sur deux séismes du XVème et XVIIème siècle en Italie. Grâce à une approche interdisciplinaire et multi-échelle, les chercheurs ont déterminé la source probable de ces tremblements de terre qui avait causé des dizaines de millier de morts à l’époque et ont trouvé la trace de séismes encore plus anciens. Ces recherches pourraient permettre de mieux anticiper les risques de tremblements de terre
Une collaboration internationale à laquelle participent le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et INRAE révèle que la majeure partie du carbone récemment séquestré dans les écosystèmes terrestres ne provient pas de végétaux vivants.
Une équipe du BIAM vient de révéler une grande diversité de bactéries capable de fabriquer des minéraux à l’intérieur de leurs cellules. La découverte de la biominéralisation chez ces organismes soulève de nombreuses questions sur les bénéfices évolutifs qu’ils en tirent ainsi que sur l’impact environnemental qu’ils peuvent avoir. Ils pourraient inspirer à l’avenir des solutions innovantes pour lutter contre le changement climatique et la pollution.
Après un épisode majeur de poussières sahariennes en mars 2022, une campagne scientifique participative a permis de récolter plus de 100 prélèvements dans six pays d’Europe de l’Ouest. Selon une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), les signatures isotopiques en plutonium des échantillons coïncident avec celles des retombées globales, largement dominées par les essais nucléaires des États-Unis et de l’ex-URSS, et sont sensiblement différentes de celles attribuées aux essais français.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.