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Direction de la recherche fondamentale
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La température pourrait-elle dépasser 50°C à Paris ? Un tel évènement extrême pourrait survenir d’ici la fin du siècle, dans des conditions qu’analysent les climatologues du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ). Tout dépend du niveau d’augmentation de la température moyenne à la surface du globe et de l’occurrence de phénomènes climatiques naturels comme El Niño.
La concentration moyenne de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère a franchi un nouveau palier à 420 parties par million. C’est ce que révèlent les mesures continues du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) effectuées à l’observatoire de l’Île Amsterdam dans l’hémisphère Sud.
Des chercheurs du Biam (CEA/CNRS/AMU) poursuivent leurs investigations pour décrypter les mécanismes permettant aux algues de fixer le CO2 par photosynthèse. Conduite en collaboration avec la Carnegie Institution for Science de Stanford (Etats-Unis), leur étude propose plusieurs découvertes qui mettent en lumière des voies moléculaires pourtant sous-estimées.
En 2023, l’écosystème terrestre a perdu plus de la moitié de sa capacité d’absorption du CO2 atmosphérique. Cette conclusion d’une étude internationale associant le CEA soulève des incertitudes et inquiétudes quant à la stabilité future du climat. Elle appelle à la prise urgente de mesures.
De nouvelles variations rapides des concentrations de dioxyde de carbone dans l'atmosphère au cours des 500 000 dernières années, appelées « sauts de CO2 », ont été mises en évidence par le projet Hotclim de l’IGE (CNRS/Inrae/IRD/UGA/Grenoble INP). Associant le LSCE (CEA/CNRS/UVSQ), l’étude internationale montre que ces évènements pourtant majeurs sont dix fois inférieurs au taux d’augmentation actuel des concentrations de CO2 d’origine anthropique.
Une collaboration internationale menée par Climate Analytics et les partenaires du projet Provide, dont le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), avertit que les scénarios prévoyant un dépassement temporaire du réchauffement par les politiques climatiques pourraient finalement manquer leur cible si aucun moyen massif d’élimination du carbone n’est mis en œuvre. Il est en réalité vital de réduire les émissions au maximum et au plus vite !
Des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) étudient l’impact de la prise en compte du mélange associé aux ondes de marée dans les océans dans un modèle de climat appliqué au passé de la Terre. Leur conclusion : il ne faut pas le négliger !
Dans une cellule électrochimique utilisant un catalyseur à base de cobalt, des chercheurs de l'Irig sont parvenus à convertir sélectivement du CO2 en CO en milieu aqueux. Une production qui peut également être réalisée directement grâce à l’énergie solaire !
Le Global Carbon Project livre son quatrième bilan des émissions mondiales de méthane. Associant des chercheurs du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ), il présente des tendances conformes aux scénarios les plus pessimistes du Giec et évalue à au moins 2/3 les émissions provenant des activités humaines.
En à peine 10 ans, les changements d’usage des sols ont entrainé une forte dégradation de la ressource en sol et en eau sur l’île de Mayotte. En cause, la forte pression démographique sur l’environnement tel que l’analysent des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et du BRGM.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.