Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs du SPI (DMTS) et du Women & Infants Hospital de Providence posent les bases moléculaires de la neuroprotection d’un dérivé purique chez un modèle préclinique d’encéphalopathie hypoxique-ischémique néonatale (EHI). Les résultats sont en faveur du développement de ce candidat-médicament pour traiter l'EHI chez les nouveau-nés.
Des chercheurs du SPI proposent des approches immuno-diagnostiques et immuno-thérapeutiques basées sur l’utilisation d’anticorps innovants, ciblant deux sous-types de récepteurs aux endothélines (ETA et ETB), désormais reconnus comme cibles thérapeutiques pertinentes en oncologie.
Le projet COVID-PATH a été officiellement lancé le 12 mars 2025 pour étudier l'impact gastro-intestinal du SARS-CoV-2 et son lien avec le COVID long.
Des chercheurs du SPI, en collaboration avec le laboratoire BioMaps et la startup Ceres Brain Therapeutics démontrent la valeur, d’une part, de la TEP au [18F] FDG pour le suivi d’un traitement expérimental du déficit en transporteur de créatine et, d’autre part, des organoïdes cérébraux qu’ils ont mis au point comme modèle de la maladie.
Le LERI (SPI/DMTS) a développé un nouvelle génération d’anticorps anti-ricine à haute affinité pour les isoformes D et E de la protéine et qui confère une protection efficace de souris modèles intoxiquées à la ricine.
Des chercheurs du SIMoS, du SPI (DMTS) et de BioMaps (SHFJ) rapportent le développement d’une nouvelle molécule, MQ232, dérivée de la mambaquarétine. Antagoniste spécifique du récepteur V2 de la vasopressine, MQ232 s’avère être un candidat-médicament prometteur pour la prise en charges de pathologies rénales.
Une équipe du LI-MS (SPI/DMTS) a mis au point une méthode de détection de la ricine combinant l’enrichissement des échantillons grâce à l’affinité de la ricine pour une glycoprotéine et la spectrométrie de masse à haute résolution.
Des chercheurs du Li2D (SPI/DMTS, Marcoule) proposent une méthode innovante de protéotypage par spectrométrie de masse en tandem pour l’identification universelle de virus pathogènes, ne nécessitant pas de connaissance préalable de la composition de l'échantillon. Un pas vers un meilleur diagnostic des infections virales.
Des chercheurs du DMTS et du SHFJ ont réalisé une analyse multiplexée de cellules et tissus tumoraux, basée sur l’utilisation d’anticorps thérapeutiques clivables, porteurs d’étiquettes de masse, pour l’identification et la quantification de biomarqueurs cancéreux. Une preuve de concept qui démontre un fort potentiel de cette approche d’immunoprofilage tumoral
Une collaboration dirigée par le LERI (SPI/DMTS) a mis au point un dispositif de microfluidique en gouttes pour tester rapidement et efficacement la susceptibilité à la colistine, un antibiotique pour lequel des phénomènes de résistance bactérienne ont été observés. L’Intelligence artificielle complète la méthode pour faciliter l’étape d’analyse des images et augmenter la sensibilité du test.
Haut de page
Une étude menée par des chercheurs du SHFJ établit une corrélation forte entre des biomarqueurs de la neuroinflammation, révélés par une imagerie TEP originale, et des enregistrements électroencéphalographiques intra-crâniens de l’activité épileptogène. Un espoir pour les patients pharmaco-résistants, candidats à la chirurgie.
Une nouvelle ère s’ouvre dans l’exploration du cerveau en développement. Pour la première fois en France, des images du cerveau d’un enfant de 6 ans ont été obtenues grâce à une IRM à 7 teslas. Cette avancée inédite, rendue possible par une équipe de scientifiques au CEA, ouvre de nouvelles perspectives pour la recherche sur les troubles du neurodéveloppement et les maladies du cerveau de l’enfant.
Une équipe du laboratoire BioMaps, en collaboration avec l’Institut Galien Paris-Saclay a mis au point une stratégie innovante associant une prodrogue polymère et l'imagerie par tomographie par émission de positons (TEP) pour améliorer l'efficacité de la mertansine, un agent antitumoral puissant mais toxique.
Le 5 juin, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un focus sur la plateforme d’imagerie préclinique de BioMaps, qui s’est dotée d’un imageur hybride TEP/TDM afin de renforcer les capacités d’analyse de la plateforme, ce nouvel imageur permettant de réaliser des acquisitions simultanées sur plusieurs rongeurs.
Fin mai, la Fondation Paralysie Cérébrale, qui finance à hauteur de 1,6 millions d’euros le projet ENSEMBLE, a lancé sur ses réseaux sociaux, une série de capsules vidéo présentant le projet. Jean-François Mangin, co-coordinateur du projet européen, Jessica Dubois, Lucie Hertz-Pannier, et deux doctorants, Laurie Devisscher et Théo Delmaire, qui participent au projet, y sont interviewés.
Des chercheurs du SHFJ, de NeuroSpin et du GHU Paris Psychiatrie & Neurosciences mettent en évidence des différences dans les altérations des faisceaux de substance blanche entre des patients diagnostiqués Alzheimer et d’autres vraisemblablement atteints de la pathologie LATE.
Une équipe de l’I2BC, en collaboration avec le NIMBE (CEA-Iramis), dévoile la nature des interactions de l’alpha-synucléine humaine avec des nanoplastiques de polyéthylène, à l’aide de simulations de dynamique moléculaire et de méthodes expérimentales.
Une collaboration impliquant en particulier des chercheurs du CEA-BIAM et du CEA-JOLIOT vient de de démontrer les capacités de dépollution d’une cyanobactérie, Gloeomargarita lithophora capable de capturer le strontium-90, un radionucléide présent dans les effluents des centrales. Cette découverte ouvre la voie vers une bioremédiation très efficace et respectueuse de l’environnement.
L’équipe METRIC (BAOBAB/NeuroSpin) a mis au point un système de séquences clef en main – PASTEUR – qui devrait faciliter la généralisation de la transmission parallèle en IRM à ultra haut champ. Le package est déjà disséminé sur plus de quarante scanners IRM 7T dans le monde.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.