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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Une équipe du Li2D a utilisé la spectrométrie de masse en tandem pour identifier les micro-organismes présents dans des échantillons d’expectoration de patients atteints de mucoviscidose. Une approche prometteuse de protéotypage qui apporte une vue élargie et non biaisée du microbiote et pourrait être complémentaire de la surveillance microbiologique des patients.
Objectif de ce projet : renforcer la préparation de l'Union européenne face aux menaces nucléaires, radiologiques, biologiques et chimiques (risque NRBC). Parmi les instituts impliqués : le CEA-Jacob et le CEA-Joliot.
Des chercheurs de l'Iramis et de l'institut Joliot ont développé une nouvelle version de leur biopuce à capteurs magnétiques (avec deux séries de capteurs GMR), la rendant plus sensible et plus spécifique.
Un consortium de chercheurs, parmi lesquels les spécialistes de l’analyse métabolomique du SPI/DMTS, présente PeakForest, une base de données de spectres RMN et de masse qui fournit des services de stockage et d'annotation de spectres de composés de référence ainsi que de profils métaboliques de matrices biologiques. Un outil ouvert pour répondre aux besoins évolutifs de la discipline.
Une équipe du Li2D a rendu public le profil peptidomique du virus responsable de la variole du singe, qu’elle a établi grâce à la spectrométrie de masse en tandem.
Le mercredi 26 octobre, l’édition locale du Pays Gardois du journal 19/20 de France 3 Occitanie ouvrait sur la présentation du laboratoire LI2D de Marcoule. Laurent Bellanger, responsable du LI2D, et Jean Armengaud, son adjoint, ont présenté les récents succès du laboratoire pour la détection et la description du virus de la variole du singe.
Des chercheurs du SIMoS et du SPI (DMTS) montrent que l’ingénierie moléculaire d’anticorps de lama, capables de neutraliser SARS-CoV-1, permet d’obtenir des anticorps optimisés avec des affinités très élevées pour SARS-CoV-2 et ses variants, les responsables de l’épidémie de Covid-19.
Des chercheurs du LERI ont développé avec l'AP-HP deux tests immunologiques rapides et peu coûteux de détection de l'antibiorésistance. Nouveauté : les deux tests repèrent l'activité des enzymes bactériennes hydrolysant les céphalosporines à spectre étendu.
Le 1er juillet, le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay a publié sur son compte Scoop.it un premier focus sur la plateforme TechMab du DMTS, une nouvelle plateforme labélisée IBiSA en 2021, qui offre un ensemble unique et intégré de technologies dédiées au développement d'anticorps pour le diagnostic, la détection et la thérapie.
Variant de Creutzfeldt-Jacob, Ebola, COVID-19… et maintenant la variole du singe : 2 laboratoires du Service de Pharmacologie et Immuno-analyse du CEA-Joliot font preuve d’une grande réactivité pour mettre au point des tests de détection rapide. Retour sur une série de succès
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Dans son focus sur l'Association Francophone de la Chimie Accélérée et Digitalisée, présidée par Eugénie Roméro-Laboureur (SCBM), le département "Sciences de la Vie" de l'Université Paris-Saclay revient sur l'importance de l'accélération et la digitalisation de la chimie face à des enjeux croissants en santé.
Une étude comportementale, menée par une équipe de NeuroSpin, a évalué le traitement cérébral de la durée par la mémoire de travail en faisant mémoriser à des participants une séquence d’intervalles de temps et en leur faisant ensuite reproduire la durée de chaque intervalle. Les résultats suggèrent que le cerveau traite la durée de chaque événement comme une information distincte.
Une étude dirigée par une équipe de NeuroSpin confirme la vulnérabilité spécifique du cerveau du bébé masculin après un AVC autour de la naissance.
Une équipe du SCBM (DMTS) a conçu des nanomicelles activables par une réaction bioorthogonale libérant une première espèce chimique, qui va ensuite réagir avec un deuxième composé encapsulé dans les micelles. Application à la synthèse d'un médicament anticancéreux, le sorafénib, à l'intérieur de cellules vivantes.
Des chercheurs du SPI, en collaboration avec le laboratoire BioMaps et la startup Ceres Brain Therapeutics démontrent la valeur, d’une part, de la TEP au [18F] FDG pour le suivi d’un traitement expérimental du déficit en transporteur de créatine et, d’autre part, des organoïdes cérébraux qu’ils ont mis au point comme modèle de la maladie.
Le projet COVID-PATH a été officiellement lancé le 12 mars 2025 pour étudier l'impact gastro-intestinal du SARS-CoV-2 et son lien avec le COVID long.
Une équipe de l’I2BC a appliqué une méthode inédite de microscopie de fluorescence permettant la reconstruction des volumes de chloroplastes en 3D à partir d’images 2D. Une approche prometteuse pour suivre les variations de volume du réseau membranaire photosynthétique en réponse aux fluctuations environnementales des plantes.
Le LERI (SPI/DMTS) a développé un nouvelle génération d’anticorps anti-ricine à haute affinité pour les isoformes D et E de la protéine et qui confère une protection efficace de souris modèles intoxiquées à la ricine.
Le laboratoire BioMaps (SHFJ) a collaboré à une étude dirigée par IDMIT (CEA-Jacob) montrant en imagerie TEP sur le modèle animal primate la progression de SARS –Cov-2 en phase aigüe et trois mois après l’infection, notamment dans les poumons et le cerveau.
Une étude internationale menée par un laboratoire de l’I2BC montre qu’un phénomène quantique appelé fission du singulet peut se produire lorsqu’une molécule modèle est mise en solution aqueuse et qu’elle se dimérise. L’étude spectroscopique exhaustive ouvre de nouvelles voies de recherche pour le développement de systèmes photocatalytiques efficients en milieu aqueux.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.