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Direction de la recherche fondamentale
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Le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et le laboratoire EDYTEM (CNRS-Université Savoie-Mont-Blanc-Ministère de la Culture) ont établi une synthèse globale des retombées en césium 137 observées dans les archives sédimentaires à travers le monde. Cette base de données permet d’améliorer la datation des carottes sédimentaires.
En s’appuyant sur des analyses de la carotte glaciaire Epica Dome C, une collaboration franco-italienne impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) met en évidence une désynchronisation des températures maximales en Antarctique et dans l’océan Austral au cours de certains interglaciaires. Ce phénomène s’explique par un déplacement des régions d’évaporation vers les hautes latitudes lors des déglaciations rapides.
Des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires proposent des biocides à façon, associant nanoparticules d’argent et cellulose. Résultat : une efficacité optimisée et une économie des atomes métalliques minimisant les effets toxiques et écotoxiques.
En collaboration avec l’Ifremer (Brest) et l’Institut de physique du globe de Paris, quatre scientifiques du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) ont participé en mai 2021 à la campagne GéoFLAMME, à bord du navire océanographique Pourquoi pas ?. Objectif : étudier un volcan sous-marin en cours d’édification à 3400 m de fond, au large de Mayotte.
Des scientifiques de l’Université Paris-Saclay, dont certains du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), participent à des missions sur le terrain depuis 2012, afin de mieux cerner les conséquences hydrologiques du dégel du pergélisol, dans une région de forêt boréale iakoute.
L’entreprise Kayrros et ses partenaires, le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et INRAE, mettent en service la première plateforme de mesures permettant un suivi à l’échelle régionale de la capacité des forêts à réduire la teneur atmosphérique en CO2. Ces données en libre accès à tous sont fondées sur des observations spatiales de la biomasse et capitalisent près de 30 ans de recherches.
Peu avant avant l'ouverture de la 26e Conférence des parties (COP 26) de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques à Glasgow, en Écosse, les dernières estimations du Carbon Monitor – une initiative de recherche internationale lancée pendant la pandémie à laquelle participe le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) – montrent que les émissions mondiales de CO2 à la fin du mois de septembre 2021 étaient inférieures de seulement 1 % aux émissions à la même période, en 2019.
Selon une étude de l'Université de Pékin impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), il existe des « hot spots » d’émission par les sols d’un gaz à effet de serre très puissant : l’oxyde nitreux (N2O). En ne ciblant que ceux d’entre eux recevant des dépôts excessifs d’engrais azotés, il serait possible de réduire de près de 20 % les émissions totales d’oxyde nitreux par les sols.
Une collaboration impliquant le CEA-Biam et le CEA-Joliot dévoile un mécanisme qui permettrait à des bactéries de sol de se protéger des effets de l’uranium présent dans l’environnement. L’accès du radionucléide à la cellule serait en effet bloqué par une protéine capable de fixer non seulement l’uranium mais aussi le fer.
Des chercheurs de CEA-Joliot et du LSCE ont développé une méthodologie innovante d’analyse du microbiote des sols. Elle devrait notamment permettre de mieux comprendre l’impact des polluants sur la qualité des sols et de prédire leur potentiel de restauration.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.