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Direction de la recherche fondamentale
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Selon une étude du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et partenaires, le réchauffement climatique d’origine anthropique a avancé la saison de croissance des végétaux, rendant les cultures plus vulnérables au gel.
Les algues microscopiques qui colonisent la neige en haute altitude sont à la fois méconnues et menacées par le réchauffement climatique. Le consortium de chercheurs (Alpalga) associant l’Irig, le CNRS, Météo-France, INRAE et l’Université Grenoble Alpes décrit pour la première fois la distribution de dizaines d’espèces en fonction de l’altitude.
Une nouvelle étude du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et ses partenaires montre qu’au cours du dernier millénaire, d'importantes quantités de dioxyde de carbone ont été relâchées dans l’atmosphère du fait de la mise en culture des tourbières de l'hémisphère nord. La moitié seulement de ces émissions a été compensée par l’absorption du carbone par les tourbières restées naturelles.
Les différents gaz à effet de serre n’ont pas tous la même persistance dans l’atmosphère. Le calcul de leurs équivalents CO2 dépend donc des durées considérées. Selon une collaboration conduite par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), moduler ces durées permettra de mieux identifier les politiques de réduction du réchauffement les plus avantageuses économiquement.
Un consortium international mené par le CEREGE a établi l’origine commune d’un cratère d’impact au Nicaragua et d’un champ de verres naturels au Brésil, en s’appuyant notamment sur des datations argon-argon réalisées au LSCE (CEA-CNRS-UVSQ). C’est la quatrième découverte de ce type au monde !
Une collaboration franco-turque impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) a identifié des pollens de « proto-céréales » dans des sédiments vieux de 2,3 millions d’années, sur le site d’Acıgöl, au sud-ouest de l’Anatolie (Turquie). Cette découverte questionne le rôle de l’Homme dans l’apparition des céréales, qui serait très antérieure au début de l’agriculture, il y a environ 10.000 ans.
Une équipe de l’Iramis (CEA-CNRS) a montré que des nanotubes d’aluminosilicates (imogolites) possèdent un potentiel intéressant pour la photocatalyse. Ces semi-conducteurs activables par la lumière pourraient être fonctionnalisés pour dépolluer l’eau, tout en respectant l’environnement.
Selon une étude associant des scientifiques d’INRAE, du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et de l’Université d’Oklahoma (États-Unis), la forêt amazonienne brésilienne a rejeté plus de carbone qu’elle n’en a absorbé au cours des dix dernières années. En cause, les dégradations de la forêt dues aux activités humaines et au changement climatique.
Un collectif international incluant des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) a publié un volume spécial dans Frontiers in Marine Science qui décrit les causes et les conséquences de la désoxygénation des zones côtières océaniques.
Une collaboration internationale de climatologues impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) détermine grâce à un modèle les différentes contributions régionales au réchauffement climatique global, ainsi que les facteurs individuels qui le modifient en l’amplifiant comme les émissions de CO2 ou au contraire, l’atténuent temporairement, comme les aérosols. Un précieux outil pour mettre en œuvre une politique climatique responsable.
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