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Direction de la recherche fondamentale
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Une équipe interdisciplinaire française impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) établit que les anciens Mayas ont connu de fortes fluctuations des ressources en eau et en sol, dans une région densément peuplée, de 2000 avant J.-C. à l’an 1000. En cause, les activités humaines et les changements climatiques.
Pour la première fois, une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) offre une vision globale des gros panaches de CO2 imputables aux énergies fossiles en exploitant des observations satellitaires.
En séquençant des échantillons d’eau de mer prélevés par des expéditions Tara Océan, une équipe internationale impliquant le CEA-Jacob (Genoscope) a identifié 5 500 nouvelles espèces de virus à ARN dont la plupart appartient à des branches inconnues jusqu’ici.
En s’appuyant sur une analyse métagénomique, des chercheurs du CEA-Jacob/Genoscope et du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) dévoilent une « biogéographie » des communautés planctoniques des océans. Ils prédisent l’évolution de leur distribution géographique à l’horizon 2100, avec à la clé, une réduction des flux de carbone organique depuis les eaux de surface vers les profondeurs.
En s’appuyant sur des analyses isotopiques de la carotte EPICA prélevée en Antarctique (Dôme C), une collaboration franco-danoise menée par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) observe une corrélation entre la productivité de la biosphère globale et la teneur en CO2 atmosphérique depuis 800.000 ans.
Une collaboration internationale menée par l’Université de Bruxelles, à laquelle participe le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), analyse la complexité des transferts de carbone des écosystèmes terrestres vers l’océan et pointe la fragilité de l’environnement littoral.
En s’appuyant sur des mesures isotopiques, une collaboration impliquant le BIAM (CEA-CNRS-AMU) et le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) est parvenue à quantifier la quantité de carbone relâchée dans le sol par les racines du mil, après quelques semaines de croissance seulement. Elle a ainsi pu identifier les lignées de mil offrant un stockage de carbone optimal et préservant le carbone plus ancien déjà présent dans le sol.
Des chercheurs de l’ICSM et leurs partenaires proposent de coupler des réactions d’oxydation et de réduction dans un même réacteur, pour des procédés chimiques plus économiques et plus respectueux de l’environnement.
Une collaboration menée par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) applique pour la première fois une technique d’apprentissage automatique utilisée en linguistique à des bulletins météorologiques quotidiens couvrant 70 années. La voie est désormais ouverte à des analyses climatologiques hors d’atteinte pour les experts humains !
L’exode rural massif qu’a connu la Chine au cours des deux dernières décennies s’est soldé par un bilan carbone favorable. Ce résultat paradoxal d’une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) s’appuie principalement sur l’analyse de données satellitaires.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.