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Direction de la recherche fondamentale
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Les stomates des plantes s’ouvrent ou se ferment en réponse à leurs besoins, à un stress hydrique ou à une attaque de pathogènes. Une équipe du Biam et ses partenaires ont mis en évidence le rôle de la protéine AQP dans le mouvement de fermeture des stomates.
La sortie d’Afrique de notre espèce, Homo sapiens, vient d’être repoussée d’au moins 60 000 ans par rapport à ce que l’on pensait jusqu’à présent. Elle aurait eu lieu il y a environ 177 000 – 194 000 ans. Cette étude internationale, à laquelle est associé le LSCE, repose sur la datation du plus ancien fossile humain moderne trouvé hors d’Afrique (Israël).
L’uranium n’est pas nécessairement toxique pour les plantes, au contraire. Une équipe de l’institut BIG vient de le démontrer.
L’expédition Tara Oceans a permis de collecter des échantillons de plancton et d’établir des catalogues d’espèces et de gènes. Une nouvelle étape est franchie avec l'analyse de 100 millions de gènes d'organismes complexes allant des algues microscopiques aux petits animaux planctoniques.
Une étude approfondie des micro-algues à carapace siliceuse (ou diatomées) souligne que leur rôle de séquestration du carbone dans les profondeurs océaniques a été sous-estimé et pourrait décliner dans les prochaines décennies. Un pronostic qui pourrait être affecté par l’évolution des espèces elles-mêmes.
Si les États réduisent leurs émissions de gaz à effet de serre à hauteur de leurs promesses de décembre 2015 à la COP 21, la planète pourrait se réchauffer de 3°C en 2050 par rapport à l’ère préindustrielle. Pour la première fois, une équipe internationale associant des chercheurs du LSCE a étudié l'impact d’un tel scénario sur la qualité de l'air en Europe en 2050. Elle montre que les mesures européennes prises actuellement dans ce domaine deviendraient très insuffisantes.
Les épisodes caniculaires qu’a connus l’Europe en 2017 résultent du réchauffement global lié aux activités humaines. La probabilité d’occurrence de telles vagues de chaleur atteint désormais 10 % chaque été. Telles sont les conclusions d’une collaboration internationale à laquelle participent des chercheurs du LSCE.
Des chercheurs de l’Inra, en collaboration avec l'Institut François-Jacob du CEA et l’Inria, ont séquencé le génome du papillon Spodoptera frugiperda . Ce ravageur des cultures est invasif en Afrique depuis 2016.
L’augmentation de la teneur atmosphérique en CO2 a eu un effet fertilisant sur la végétation, y compris l’agriculture. Cependant, dans le futur proche, cet effet positif sera limité par le manque de nutriments et les effets négatifs du changement climatique. En particulier, les rendements des cultures céréalières seront à terme affectés négativement par le réchauffement. Telles sont les conclusions de collaborations internationales impliquant le LSCE.
Obliger un organisme vivant à prendre un autre chemin que le sentier habituel pour synthétiser les molécules dont il a besoin pour vivre et se multiplier ? Une équipe de l’Institut François-Jacob en a fait la démonstration chez une bactérie.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.