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Direction de la recherche fondamentale
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La culture du riz, l’aliment de base de plus de la moitié de la population mondiale, devrait subir des pertes considérables en cas de changement climatique important, rendant nécessaires une fertilisation au CO2 et des sélections génétiques d’espèces capables de s’adapter.
Selon les modèles des agronomes et des climatologues, les rendements de maïs et de soja diminuent dès que la température dépasse 30°C. Le blé semble mieux résister. L’irrigation permet d’éviter ces pertes.
Le mystère de l’origine des plantes à fleurs est en partie levé. Une équipe du CEA-BIG et leurs partenaires nous éclairent sur une question ayant beaucoup intrigué Darwin : l’apparition d’une structure aussi complexe que la fleur au cours de l’évolution.
Selon des estimations fondées sur des observations expérimentales et des simulations numériques, les rendements de production du blé en Chine devraient globalement être dégradés par le réchauffement climatique à venir.
À Montalbano Jonico (Italie), une mesure stratigraphique sur le béryllium 10 a permis, pour la première fois, de dater précisément une transition entre deux sous-époques géologiques du Pléistocène, particulièrement importante pour les sciences de la Terre. Le site italien devrait être prochainement reconnu comme « point stratigraphique mondial » ou « clou d’or ».
Les écosystèmes terrestres absorbent actuellement près d’un quart du dioxyde de carbone atmosphérique d’origine anthropique. Comment répondront-ils au changement climatique ? Une étude menée par le Max Planck Institut de Jena (Allemagne), et à laquelle participent des chercheurs du LSCE, apporte un nouvel éclairage sur cette question.
Julie Poulain, du CEA-IG, et l’équipage de la goélette TARA ont accosté à l’île de Futuna. Au programme : inventaire de la faune et de la flore marines, puis séquençage.
Une équipe internationale menée par le LSCE publie un bilan complet des sources et puits de méthane. Après une période de stabilisation au début des années 2000, une nouvelle augmentation des concentrations de méthane est observée par les réseaux de mesures internationaux depuis 2007, avec une forte accélération depuis 2014. Cette évolution est encore mal comprise.
Julie Poulain a pris le relais de Valérie Barbe à bord de la goélette TARA. Cette chercheuse du CEA-IG n’a pas le même objectif que sa collègue. Voici ses explications.
Une collaboration internationale se met en quête de la glace la plus ancienne sur Terre, en Antarctique. Elle s’appuie sur une sonde révolutionnaire, développée par des équipes françaises avec une implication initiale du LSCE : Subglacior. Celle-ci permet de dater la glace en temps réel sans carottage. Les mesures sur des glaces vieilles d’un million et demi d’années pourraient être effectuées au cours d’un été austral.
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