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Direction de la recherche fondamentale
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Pour la première fois, des simulations effectuées avec le code Jorek de l’IRFM ont reproduit fidèlement des instabilités périphériques du plasma de fusion, observées dans le tokamak coréen Kstar. Ces instabilités tendent à provoquer des pertes de confinement en bord de plasma et des flux de puissance qui pourraient conduire à l’endommagement de certains composants dans Iter.
Un chercheur de l’IPhT a proposé une démarche très générale permettant de tester des théories physiques avancées qu’il a appliquée à la « gravité massive ». Le verdict est sans appel : la théorie est incompatible avec des principes physiques fondamentaux comme la causalité !
Les protéines membranaires, naturellement entourées d’une bicouche de lipides, peuvent être solubilisées dans un détergent, mais restent-elles structuralement intactes ? Une équipe de l’IBS clarifie la situation.
Pour la première fois, une collaboration incluant l’Inac et l’Iramis a confirmé, à la fois par l’expérience et la théorie, l’existence d’une nouvelle famille de transitions de phases, impliquant non pas une mais deux classes de défauts topologiques. Par application d’un champ magnétique, les chercheurs ont pu contrôler cette transition dans un oxyde de cobalt à structure quasi-unidimensionnelle (Bacovo).
Des nanoparticules d’oxyde de fer synthétisées par des bactéries ont montré une affinité pour les cellules tumorales de la prostate implantées chez la souris. Après injection dans la circulation sanguine, les nanoparticules s’accumulent dans ces cellules et favorisent leur destruction par un laser.
L’acidification de l’Océan Pacifique Sud s’amplifie depuis la fin du 19e siècle tandis qu’augmente la teneur atmosphérique en CO2 d’origine fossile, imputable aux activités humaines. C’est le résultat d’un travail collaboratif du LSCE et d’un autre laboratoire de l’Institut Pierre-Simon Laplace (Locean) portant sur plus de trois siècles.
Grâce à la mesure du carbone 14 réalisée pour la toute première fois sur des carbonates de plomb, des chercheurs français ont pu distinguer les produits d’origine naturelle de ceux obtenus par synthèse chimique parmi des cosmétiques des Antiquités égyptienne et grecque.
Des périodes passées aussi chaudes ou plus chaudes que l’époque actuelle aident à mieux comprendre ce que pourrait devenir la Terre sous l’effet du réchauffement en cours. Une analyse récente de grande ampleur à laquelle a participé le LSCE montre que pendant plusieurs milliers d’années, les zones climatiques et les écosystèmes vont se déplacer et les calottes polaires vont se réduire significativement. Des effets sous-estimés par les modèles actuels.
Un consortium mené par l’Inra et le CEA a séquencé le génome du chêne pédonculé et révèle deux facettes de sa longévité.
L’Antarctique et l’Océan austral sont étroitement connectés avec le reste du globe. Les choix qui seront faits au cours des dix prochaines années et les changements environnementaux et climatiques qui en résulteront auront des conséquences à long terme pour cette région et la planète entière.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.