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Direction de la recherche fondamentale
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Une étude internationale menée par l’ETH Zürich avec la participation du LSCE montre que les océans ont absorbé près d’un milliard de tonnes de CO₂ de moins que prévu en 2023, soit une réduction d’environ 10 % du puits océanique. En cause : les extrêmes de température de la surface de la mer observées en 2023, notamment dans l’Atlantique Nord.
Le programme de recherche ATLASea, piloté par le CEA-Jacob et le CNRS, a franchi une étape majeure : 100 génomes d’espèces marines ont été séquencés. Ce jalon illustre la dynamique de ce projet national lancé en 2023. Son ambition : cartographier le patrimoine génétique de 4 500 espèces marines eucaryotes présentes dans les eaux françaises.
Des chercheurs du CEA-IPhT ont pu vérifier que l’UTe2, un matériau fabriqué à partir d’uranium et de tellure, était un supraconducteur à paires en état triplet. Un résultat théorique basé sur une comparaison avec des observations expérimentales, et qui ouvre la voie à une meilleure compréhension des phénomènes sous-jacents à l’intérieur de ce type de matériau, en particulier l’existence d’une supraconductivité topologique.
Des chercheurs Iramis ont réussi pour la première fois à simuler comment un liquide comme le glycérol réagit à un champ électrique de manière non linéaire. Ce résultat met en évidence l’apparition et la croissance d’une structure caractéristique dans le spectre diélectrique en bon accord avec les données expérimentales. Une avancée clé pour comprendre comment les molécules interagissent et ralentissent leur mouvement quand un liquide se transforme progressivement en verre.
Ruby, un processeur quantique conçu par la startup française Pasqal, a permis l'exécution d’un premier cas d’usage concret en dehors d’un laboratoire. Cette première mondiale pour une machine à atomes neutres a été réalisée au Très Grand Centre de calcul du CEA (TGCC) et constitue une étape importante vers de futures applications du calcul quantique. L’institut de Physique théorique (IPHT) de la DRF est au cœur de ce travail.
Des chercheurs du CEA-Irig se sont consacrés à l’étude des propriétés électroniques de très fines couches de germanium aux performances exceptionnelles. Leurs travaux ouvrent la voie à la fabrication de transistors ultra-performants, sans perte d’énergie. Une brique essentielle pour les ordinateurs quantiques du futur.
Des chercheurs du CEA-Jacob ont montré que des nanoparticules métalliques étaient plus fortement absorbées par les cellules mésenchymateuses qui sont fréquemment associées à des formes tumorales agressives du cancer du sein et résistantes aux traitements. Un résultat qui ouvre la voie à des approches de radiothérapie plus sélectives et efficaces.
Un groupe de chercheurs impliquant le CEA-Irfu a développé un nouvel aimant hybride capable d’atteindre une intensité de 42 teslas. Construit au LNCMI de Grenoble, il rejoint le cercle très fermé (après les USA et la Chine) des plateformes atteignant un champ magnétique supérieur à 40 teslas. Elle est maintenant disponible pour des expériences de physique dans de nombreux domaines de recherche, de la physique du solide au développement d’aimants supraconducteurs de très hauts champs grâce aux matériaux innovants
Face à la nécessité croissante de techniques de diagnostic rapides, portables et efficaces pour la santé, une équipe de chercheurs de l'IRAMIS et de Joliot poursuit ses travaux sur le développement d'une biopuce microfluidique innovante à base de capteurs GMR. Testée avec succès sur une lignée cellulaire de myélomes murins, cette technologie brevetée démontre une sensibilité notable et une grande simplicité de manipulation.
Des chercheurs du CEA-Joliot ont participé à la caractérisation de nanocorps issus d’anticorps de lamas conçus par des scientifiques de l'IGF (CNRS-Inserm-Université de Montpellier), capables de franchir la barrière protectrice du cerveau. Ciblant un récepteur impliqué dans l’activité neuronale, ces mini-anticorps biodégradables montrent un fort potentiel contre la schizophrénie.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.