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Direction de la recherche fondamentale
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En modélisant l’évolution du champ magnétique de la croûte d’une étoile à neutrons sur des centaines de milliers d’années, des astrophysiciens du CEA-Irfu et leurs partenaires britanniques suggèrent un mécanisme pouvant expliquer la formation de magnétars avec un champ magnétique dipolaire dix à cent fois plus faible que celui des magnétars classiques.
Une équipe du CEA-Irfu a réussi à démontrer l’occurrence des éruptions solaires dites « sympathiques » en s’appuyant sur des données d’observation. Ces éruptions fascinantes, qui ont pour particularité d’en déclencher une autre à proximité, ont pu avoir leurs caractéristiques décrites précisément pour la première fois.
Selon une étude internationale à laquelle a participé le CEA-Irfu, le Soleil pourrait connaître, une fois par siècle en moyenne, une super-éruption cent fois plus énergétique que les plus grandes tempêtes solaires connues. Cette estimation, établie grâce à l’observation de milliers d’étoiles et des simulations numériques en calcul intensif, souligne l’intérêt de prédire de tels événements afin de pouvoir en réduire les impacts.
Après un épisode majeur de poussières sahariennes en mars 2022, une campagne scientifique participative a permis de récolter plus de 100 prélèvements dans six pays d’Europe de l’Ouest. Selon une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), les signatures isotopiques en plutonium des échantillons coïncident avec celles des retombées globales, largement dominées par les essais nucléaires des États-Unis et de l’ex-URSS, et sont sensiblement différentes de celles attribuées aux essais français.
En combinant de manière inédite chimie-click et spectrométrie de masse, des chercheurs de l’Institut Joliot et d’INRAE sont parvenus à analyser simultanément plusieurs biomarqueurs cancéreux, non seulement in vitro, mais également dans un modèle animal in vivo. Cette technique, potentiellement applicable à plusieurs dizaines de biomarqueurs, ouvre la voie à des traitements d’immunothérapie personnalisés contre le cancer.
Des équipes de l’Iramis/LLB ont mis au point un nouveau spectromètre neutronique « Sharper », implanté à l’Institut Laue-Langevin et piloté en collaboration avec le CEA-Irig. Par rapport au modèle précédent, il offre un gain important en taux de comptage, résolution et énergie. Sa vitesse d’acquisition de données et sa résolution spectrale en font un outil extrêmement utile pour la recherche dans de nombreux domaines scientifiques et industriels.
Des chercheurs de l’IPhT et leurs partenaires ont développé une méthode de simulation de l’interaction forte, applicable à une très large gamme d’énergies et jusqu’à dix fois plus précise que les précédentes, grâce à un lien renforcé avec la physique sous-jacente. Un outil précieux pour la recherche d’une nouvelle physique dans les collisionneurs de hadrons comme le LHC au Cern !
Le tokamak West du CEA est parvenu à maintenir un plasma pendant plus de 22 minutes le 12 février. Il bat ainsi très largement le record précédent de durée de plasma obtenu dans le tokamak chinois East.
Dans une étude réalisée auprès de 367 femmes enceintes, des équipes du CEA, de l’Inserm, de l’Université Grenoble Alpes, et du centre hospitalier universitaire Grenoble Alpes, ont examiné l’impact des polluants PFAS, les substances per- et polyfluoroalkylées, sur le placenta. Leurs résultats suggèrent une association entre l’exposition à plusieurs PFAS et une altération de cet organe.
Des chercheurs du CEA-Jacob ont découvert un type de cellules cancéreuses chimiorésistantes chez des patients atteints de leucémie aiguë lymphoblastique. La présence de ces cellules seraient corrélées à la concentration d’adipocytes dans l’organe. Cette découverte ouvre de nouvelles pistes pour le traitement de ce cancer dont la rechute est souvent fatale.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.