Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Direction de la recherche fondamentale
Présentation de la Direction de la recherche fondamentale
Retrouvez toutes les ressources multimédia de la DRF
Vous voulez participer au développement de la recherche dans le domaine de la santé, des bioénergies, des énergies,de la physique, de la chimie, des sciences du vivant ? Vous souhaitez un parcours professionnel motivant dans une communauté scientifique pluridisciplinaire ? Rejoignez les équipes de la DRF, ouvertes à la fois sur la recherche internationale et le monde industriel.
Des chercheurs du CEA-Irig ont identifié une enzyme qui agit différemment selon les processus cellulaires : USP36. Leurs travaux montrent que son activité enzymatique est indispensable à la spermatogenèse chez la mouche Drosophile, mais qu’elle n’est pas nécessaire à la croissance cellulaire. Une double fonction inédite pour cette famille d’enzymes.
Une collaboration de chercheur impliquant le CEA-Joliot a participé au développement de PET KinetiX : un logiciel capable de générer des images 3D du corps humain pour suivre la circulation des biomarqueurs de certains cancers. Utilisé pour l’imagerie TEP, il pourrait permettre aux médecins d’obtenir de nouvelles données biologiques sur leurs patients. Après de premiers essais prometteurs sur un simulateur numérique, le logiciel est désormais testé dans plusieurs centres hospitalo-universitaires.
Le 14 mars 2025, le satellite franco-chinois SVOM (Space-based multi-band astronomical Variable Objects Monitor) a détecté un sursaut gamma exceptionnel provenant des confins de l’Univers, baptisé GRB 250314A. 110 jours plus tard, le télescope spatial James Webb (JWST) observe une supernova associée, offrant un nouvel éclairage sur les mécanismes d’effondrement des étoile massives.
La nitrogénase est un complexe enzymatique qui permet la fixation biologique de l’azote chez des bactéries et plantes. À travers une étude récente publiée dans Nature Chemical Biology, une collaboration de chercheurs incluant le CEA-Irig ont dévoilé le caractère dynamique essentiel d’un des acteurs clés pour l’activation de la nitrogénase, assurant protection et transfert efficace durant la biosynthèse de son cofacteur.
Des chercheurs du CEA-Irig ont réexaminé des données de co-séquençage unicellulaire afin de mieux comprendre le rôle des microARN dans la régulation des gènes. Leur interprétation statistique a mis en évidence que la régulation des microARN se fait rarement par une répression visible d’un grand nombre de gènes. Elle a également permis de proposer des bonnes pratiques pour exploiter ces données, au cœur des futures évolutions de la biologie et de la médecine personnalisée.
Alors que les réseaux de neurones modernes comptent des milliards de paramètres, une question fondamentale se pose : comment parviennent-ils à conserver leur efficacité malgré la quantité considérable de données qu’ils absorbent ? Des chercheurs de l’IPhT (CEA-CNRS) ont mis en évidence un mécanisme temporel qui sépare l’apprentissage utile du surapprentissage. Ce scénario éclaire le fonctionnement réel de ces modèles « géants ».
Ce vendredi 8 novembre marque une étape importante pour la biologie structurale en France : l'inauguration du cryo-microscope électronique de pointe Titan Krios G4 à Grenoble. Il jouera un rôle essentiel dans le développement d'une recherche collaborative en biologie structurale, pour la conception de médicaments et pour la recherche biomédicale impliquant particulièrement les équipes du CEA-Irig.
Le projet Chronology, associant quatre chercheurs dont Virginie van Wassenhove du CEA, reçoit un ERC Synergy dont le montant peut atteindre 10 millions d'euros pour cinq ans. Objectif : caractériser les cartes cognitives du temps mises en place par le cerveau.
Mystérieux, omniprésents dans la culture populaire et notamment dans la science-fiction, les trous noirs sont-ils vraiment ces aspirateurs de matière et de lumière, ces créateurs de spaghettis ? Deux physiciens de la DRF prennent le temps de raconter l’histoire et la science des trous noirs dans une discussion diffusée sur youtube.
Le dernier prix Nobel scientifique de l’édition 2024, celui de chimie, récompense la conception et la prédiction de protéines par intelligence artificielle. Le point avec Raphaël Guérois, Jessica Andreani et Hugues Nury, des instituts Joliot et Irig de la DRF, dont les recherches s’inscrivent dans la continuité de celles des lauréats, David Baker, Demis Hassabis et John Jumper.
Le prix Nobel de physique 2024 récompense John Hopfield et Geoffrey Hinton pour leurs travaux dans le domaine de l’intelligence artificielle. Des travaux aux fondements des méthodes d’apprentissage selon Guigone Camus et Christophe Calvin, chargés du HPC, de la simulation numérique et des données scientifiques et techniques à la DRF. Ces méthodes d’apprentissage sont d’ailleurs à la base des outils développés pour le design des protéines, récompensé par le prix Nobel 2024 de chimie.
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.